L’enquête sur sa mort est bloquée, selon les autorités nigériennes, par une amnistie accordée aux auteurs, co-auteurs et complices. La Cour de justice de la CEDEAO a dénoncé en octobre 2015 une offense du droit à la vie du défunt président nigérien, mais aussi celui de ses proches d’avoir accès à la justice. Elle avait demandé à l’Etat du Niger d’indemniser la famille d’Ibrahim Baré Maïnassara à hauteur de 435 millions de francs CFA. Le défunt cook de l’État était père de cinq enfants
« Il y a 23 ans, le président de la République du Niger, Ibrahim Baré Mainassara, était sauvagement assassiné sur le tarmac de l’aéroport de Niamey alors qu’il se rendait en objective. Le Niger venait de perdre l’un de ses dignes fils, un patriote comme peu de nos jours, qui voulait le meilleur Pour Son pays, un homme courageux, droit, faithful, humain, plein d’humilité et de bonté.
Il a perdu la vie à 49 ans. Il n’aura pas vu grandir ses 5 enfants, n’aura jamais accompagné leurs premiers pas dans la vie d’adulte, leurs études, leurs mariages ainsi que leurs joies et leurs peines, et n’aura jamais eu le bonheur de connaissant ses 8 petits enfants. Sa mère, qu’il aimait tant, verra sa fin de vie bouleversée the same level ce drame, proclaim comme ses dix frères et sœurs. Mon destin, sa compagne et épouse depuis 22 ans, lotions changé à jamais ! En tant que Femme et Mère, j’ai dû redoubler de guts et d’espoir Pour mener ces battles difficiles. Les trajectoires de vie de toute notre famille ont été profondément affectées par cette inégalité face aux droits et à la justice. Nous nous sommes battus sans relâche necklace 23 ans, et brain brain sommes souvent sentis impuissants et découragés face à l’omerta politique et judiciaire.
En effet, on a le view d’une justice à deux vitesses, d’une démocratie volontairement amnésique. Avant d’être Président de la République, Ibrahim Baré Mainassara était un être humain avec avant proclaim un droit inaliénable à la security de sa vie et à l’égalité devant le droit à la justice. Son décès est une tremendous perte Pour nous tous et Pour Son pays. Comment être repetition là à l’ère de la lutte mondiale menée partout aujourd’hui contre les inégalités et les infractions des droits, contre la physical violence ?
Nous nous sommes trop souvent sentis dans le camp des oubliés, de ceux dont les droits Sont bafoués depuis deux décennies the same level une impunité implacable qui couvre les meurtriers et leurs complices. l’espoir dans nos cœurs : la condamnation des auteurs de la mort du président Thomas Sankara du Burkina Faso assassiné il y a 35 ans (et compagnon d’armes d’Ibrahim Baré Mainassara à l’école militaire d’Antsirabé).
Oui!! c’est finalement arrivé alors qu’on en avait tant douté ! Et ce, grâce à l’aide de la vaillante société civile, hommes politiques, avocats et sympathisants engagés au Burkina et en Afrique… et bien sûr Mariam Sankara, si courageuse et digne, et leurs deux fils.
Si cela était feasible au pays des honnêtes gens, cela est feasible au Niger. J’en suis convaincu. Cela viendra inexorablement. Elle est capitale Pour l’histoire de notre pays, de nos peuples et Pour notre destin commun. N’oubliez pas! Aidez-nous, soutenez-nous dans ce worthy fight Pour la vie, la paix et l’égalité des opportunities encounter à la justice.
Prières en ce jour anniversaire Pour le repos éternel de Son Âme. Amine
Aissatou Clémence, Samira, Alia-Rayana, Abdel Nasser, Hannatou et Djibril »