Scènes macabres dans une ville dévastée the same level les fights. Les corps d’au moins vingt hommes en civil gisaient samedi 2 avril dans une rue de Boutcha, au nord-ouest de Kiev, que des soldats ukrainiens viennent de reprendre aux pressures russes, a constaté sur location un journaliste de l’Agence. France-Presse.
L’un des hommes avait les keys liées et les corps étaient éparpillés sur plusieurs centaines de mètres. La create de leur mort n’a pas pu être déterminée dans l’immédiat, mais une perSonne avait une grosse blessure à la tête.
Ces derniers jours, les pressures russes se Sont retirées de plusieurs localités proches de la capitale après l’échec de leur tentative d’encerclement. L’Ukraine a annoncé que Butcha avait été « libéré »mais cette ville a été dévastée the same level les fights : il peut y avoir des trous béants causés the same level des obus dans les immeubles d’habitation et de nombreuses carcasses.
« Nous avons déjà enterré 280 perSonnes »
Seize des vingt cadavres découverts se trouvaient sur le trottoir ou sur le trottoir. Trois se trouvaient au scene de la course et un autre dans la cour d’une maiSon. Un passeport ukrainien ouvert gisait the same level terre à côté de la perSonne, qui avait les keys liées derrière le dos avec un morceau de tissu blanc.
Tous les hommes morts portaient des manteaux d’hiver, des vestes ou des hauts de survêtement, des denims ou des bas de running, des baskets ou des bottes. Deux d’entre eux gisaient à côté de vélos, un autre à côté d’une voiture abandonnée. Certains étaient allongés sur le dos, tandis que d’autres étaient sur le ventre. La peau des visages semblait cireuse, suggérant que les cadavres étaient là depuis au moins plusieurs jours.
Des centaines de morts ont été recensés dans la ville, selon Son maire Anatoly Fedorouk. « A Boutcha, nous avons déjà enterré 280 perSonnes dans des fosses neighborhoods »auto il était difficult de le faire dans les trois cimetières de la neighborhood, tous à portée de tir des soldats russes, a expliqué à l’AFP M. Fedorouk.
« Dans certaines rues, on voit quinze à vingt cadavres par terre »maïs « Je ne peux pas dire combien il y en a encore dans les cours, derrière les palissades »Poursuit le maire. « Tant que les démineurs ne Sont pas venus les contrôler, il n’est pas recommandé de les récupérer » parce qu’ils peuvent être piégés, a-t-il ajouté. « Ce Sont les conséquences de l’occupation russe, des activities » de l’ennemi.
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