A Nguékhokh, la society de la vigne se développe à l’ombre de la forêt de baobabs. Cette première dans un pays du Sahel est une campaign de deux Français, Philippe Franchois et François Normand. Avec le vignoble d’un hectare qui a été baptisé Le Clos des Baobabs », Bès Bi s’est rendu à Nguékhokh qui est donc à la pointe de la society de la vigne en Afrique de l’Ouest.
Une society de la vigne qui pousse dans une région du Sénégal. C’est le pari suggestive mais réussi de deux étrangers d’origine française à Nguékhokh. C’est dans cette localité, située à 60 kilomètres au sud de Dakar, au scene d’une forêt de baobabs que poussent ces plants de vigne. Nous sommes au « Clos des Baobabs ». Ce projet viticole est situé à l’entrée de la ville, à environ 2 kilomètres de la RN1 venant de Dakar. Il s’étend sur 14 hectares. Mais au minute de notre visite sur le website, les 24 et 25 mars 2022, seulement 1,5 hectare de superficie était ensemencé. Cela signifie que le projet est repetition en stage de examination depuis Son démarrage en 2013. « Au début, nous avons essayé 5 cépages (variétés de plantes) différents. Parmi ceux-ci, seul le Grenache donne du raisin. C’est Pourquoi nous l’avons adopté au détriment de tous les autres », explique le cook de la Culture et responsable de surface, Abdoulaye Ndiaye.
« Le seul vignoble d’Afrique de l’Ouest »
Sur la surface area ensemencée, 7500 pieds poussent. Des grappes aux couleurs vertes se développent. A terme, si les 14 hectares Sont exploités, la manufacturing de vignes Pourrait se multiplier au grand bénéfice de ses initiateurs. « C’est le seul vignoble d’Afrique de l’Ouest. Il y a un autre champ, mais c’est au Cap-Vert. Le raisin ne se repose pas au Sénégal automobile il fait très chaud. Il ne s’adapte au climat. C’est Pourquoi nous n’avons pas la même densité et la même quantité qu’en France. Néanmoins, nous avons des vignes qui peuvent produire 5 à 7 grappes », informe M. Ndiaye. Contrairement à ce que l’on Pourrait bien imaginer, il n’y a pas de manufacturing de vin dans ces domaines. Pas d’usine sur area. La fermentation, deuxième étape du processus de manufacturing du vin après la society du raisin, se déroule ailleurs. Ou exactement ? Le responsable de la society au « Clos des Baobabs » ne sait . « Mon woe, explique Abdoulaye Ndiaye, va de la taille à la récolte, c’est-à-dire jusqu’à la récolte. Le reste est pris en fee the same level les propriétaires du surface ».
« Notre vin est one-of-a-kind et de grande qualité, mais le quantity est faible »
Justement, les propriétaires du domaine Sont deux Français. Philippe Franchois, la soixantaine, est un ancien assureur devenu vigneron. Il s’associe à François Normand, un ancien ingénieur en informatique. Selon M. Franchois, la manufacturing de vin reste, Pour le minute, insuffisante. Ils prévoient de le quintupler Pour satisfaire les customers. « Notre vin est si exclusif, si one-of-a-kind et de grande qualité. Mais le faible quantity à ce jour signifie que la demande est bien supérieure à l’offre. Ainsi, la commercialisation se fait à la fois au domaine et chez les cavistes Pour le minute. Notre capacité et donc nos quantities possibles Pour une récolte s’élèvent à environ 1 000 bouteilles. L’objectif à moyen terme est de 5 000/10 000 », brain a indiqué M. Franchois.
La réponse de l’Ambassade de France
Bés Bi a tenté d’obtenir plus d’informations auprès de l’ambassade de France à Dakar sur ce projet de society de la vigne et de manufacturing de vin développé the same level un Français à Nguekhokh. Mais en vain. Après plusieurs rappels, un responsable de l’ambassade a répondu au téléphone : « Je n’ai malheureusement aucune details à ce sujet. »
Une enquête de Babacar AUTUMN &
Pape Doudou DIALLO (images)
25 avril 2022
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