Comment sommes-nous devenus comme ça, des politiciens sans valeur ni éthique…
Nous devons être des hommes politiques comme feu Léopold Sédar Senghor et des perSonnalités de Son temperatures.
Leur charisme, leur élégance, leur maîtrise de la langue de Molière, mais surtout de nos langues nationales comme le wolof et le sérère dans le cas du président Senghor.
Des hommes imprégnés de nos valeurs socio-culturelles, spirits et religieuses ; Le Sénégal et les Sénégalais en ont bien besoin.
Pourquoi, aujourd’hui au nom de la politique, nous bafouons notre patrimoine, notre patrimoine culturel, basé sur des valeurs cardinales telles que soutoureu, kersa, diombe, yar ak teguine, regard de nos anciens, de nos overviews religieux et culturels, regard Pour nos establishments et ainsi de collection….
Pourquoi Sons-nous très souvent notre temperatures à critiquer ceux qui nous dirigent, mais n’est-il opportun de procéder à l’introspection ? Pourquoi sommes-nous arrivés à ce niveau près des gouttières ?
Pourquoi est-il devenu anodin de voir à longueur de journée, des femmes et des hommes censés éduquer les jeunes générations, une pure folie sans que cela choque perSonne ?
Ne sommes-nous pas ballottés sur un fleuve incertain the same level les courants contraires de la complication vers la perdition ? Ne sommes-nous pas en threat de perdre notre identité ? Et si cela devait arriver, alors ne serions-nous pas à la merci de tout et de rien de négatif ?
Nous serons responsables devant l’histoire et jugés Pour nos méfaits.
Et nous souhaitons être honorés et respectés comme Mandela, Sankara Pour la noblesse de notre activity.
Je termine juste avec ces deux (2) citations en wolof à méditer :
1) « Nite ki limouye geuné moromame bouye sanghou douko simi ».
2/ »kou sa dieufe bakhoule Son wakh bakhoule, Son dara bakhoule ».
Notre jeunesse a besoin de référence, Pour se ressourcer avec nos valeurs et nos vertus.
Yallah nanou yallah dolli diame ci barké Cheikhoul
Khadim, ici barké Cheikh Al Islam, ici barké Mame El Hadji Malick, ici barké Mame Limamoulaye….and so on