A quarante heures du scrutin Pour les élections législatives prévues le 31 juillet prochain, deux challenges majeurs se dressent devant cette training course à la députation. Il s’agit d’un risque de faible taux de engagement devant altérer la légitimité des représentants du peuple. Sur le strategy organisationnel aussi, la pluie risquerait de perturber le scrutin dans plusieurs localités déjà envahies the same level les eaux. Sans occulter, l’absence de candidats titulaires et de suppléants sur deux listes nationales Yewwi et Benno.
Les Sénégalais Sont appelés aux urnes ce dimanche 31 juillet 2022 Pour élire leurs représentants à l’Assemblée nationale. Cependant, ces élections législatives restent particulières. Elles se dérouleront, en effet, sans les suppléants de la liste nationale de la union du parti au pouvoir « Benno Bokk Yaakaar » et sans les candidats titulaires de la liste nationale de la union de l’opposition « Yewwi Askan Wi ». Ce qui laisse craindre un ft taux d’abstention au scrutin si d’un côté les suppléants appelleraient à un ballot assent et de l’autre côté, ils démontrent leur désintérêt à se déplacer aux urnes si l’on sait que plusieurs chiffres de l ‘resistance comme Ousmane Sonko Sont écartées des échéances.
En effet, la problématique du faible taux de engagement est quasi-récurrente dans le pays Pour la majorité des élections, en dehors de la présidentielle, Pour laquelle la mobilisation électorale est souvent très forte. Le taux de engagement à l’élection présidentielle de 2019, par exemple était de 66,27% alors qu’en 2017, le taux de engagement aux élections législatives officiellement annoncé était de près de 54%. Si donc le taux de engagement aux législatives est bas, le Parlement serait-il vraiment représentatif des sénégalais ? Le cas échéant, la concern de la légitimité des députés se poserait avec acuité. Ce qui constituait un véritable écueil Pour la quatorzième législature.
L’autre barrier qui pèse sur les élections législatives, c’est la saiSon des pluies qui reason toujours d’énormes désagréments dans la capitale sénégalaise. La campagne électorale se déroule en plein hivernage. Le week-end dernier the same level exemple, les pluies incessantes avaient dicté leur loi dans la capitale et sa banlieue. Entre rues et courses inondées et transformées the same level endroits en bassins de rétention, le phenomenon était désolant et le calvaire des populaces et usagers énormes. Les responsables politiques ont été les mêmes contraintes de press reporter certaines activités de leur campagne. Quid donc d’un examen législatif en cas de pluie ? Est-ce que des mesures Sont prises Pour une bonne organisation des élections quand on sait qu’il y a certaines écoles qui Sont parfois inondées sans oublier les tentes à Touba ? Sinon, le taux de engagement à ces élections législatives risque repetition d’être touché.
Au-delà de ça aussi, il faut noter que les agriculteurs du monde country Sont plus préoccupants the same level la campagne agricole en période hivernale. A toutes inquiétudes vient s’ajouter l’incongruité des listes sans suppléants de Benno et sans titulaires de Yewwi. A moins que ces élections soient sauvées par le caractère référendaire que les acteurs lui semblent donner dans la campagne. Parce qu’après proclaim ces Législatives ont une appeal d’une présidentielle anticipée.
AVEC SUD
