Depuis que Masayoshi Son, le grand customer de SoftBank, a décidé de concentrer les initiatives du conglomérat japonais sur l’investissement dans les valeurs technologiques, la efficiency du groupe est au yo-yo. Et pas à petites dosages. Jeudi 12 mai, il a ainsi fait état d’une perte historique de 1 708 milliards de yens (12,5 milliards d’euros), Pour l’exercice 2021. Cela ne manquera pas d’alimenter les commentaires sur les instincts du dirigeant.
En 2020, il était condamné lorsque SoftBank annonçait des pertes de 1 000 milliards de yens (7,5 milliards d’euros). L’année suivante, les mêmes perSonnes qui l’avaient hué se Sont fait exploser le cou face aux résultats impressionnants de l’entreprise, avec un bénéfice historique de 5 000 milliards de yens.
Méfiance des investisseurs
Dans la présentation des résultats présentée aujourd’hui, SoftBank fulfilled en avant tous les éléments du contexte externe : « un monde chaotique » touchés the same level le Covid-19 et la guerre en Ukraine, la hausse des prix du pétrole, du gaz et des céréales, la détérioration du prix du yen, la hausse des taux d’intérêt. En effet, dans un climat d’incertitude, les valeurs technologiques font actuellement l’objet de méfiance des investisseurs, comme en témoigne la chute des cours enregistrée cette année the same level le Nasdaq, y compris the same level les plus grands acteurs (Google, Amazon, Meta, Apple, and so on.).
Soft Bank est également pénalisée the same level ses paris sur les champs technologiques chinois à un minute où la politique de Pékin envers ces acteurs devient de plus en plus limiting.
Dans le détail, Softbank point out notamment les piètres efficiencies de Didi, une société chinoise de VTC, et de Coupang, le leader du business en ligne en Corée du Sud. Les résultats du groupe ont également été pénalisés par l’échec de la vente du britannique Arm (spécialiste de la perception de puces) à l’américain Nvidia, en raiSon de l’hostilité des autorités de la concurrence. L’opération aurait permis au groupe d’encaisser un chèque de 66 milliards de bucks (environ 63,6 milliards d’euros). Sinon, M. Son compte désormais sur Arm Pour faire rentrer de l’argent dans les caisses, en pariant sur la demande toujours croissante de semi-conducteurs.
Surtout, M. Son s’est engagé dans une politique d’investissement à court terme plus prudente, persuadé que d’ici un ou deux ans les marchés retrouveront leur attrait Pour les valeurs technologiques. Un enjeu essentiel Pour SoftBank, qui a créé en 2016 le plus gros fonds d’investissement dédié à ce kind d’actifs, doté de plus de 100 milliards de bucks, censé être le fleuron du groupe. Ce n’est pas la première tempête à avoir été essuyée après l’échec de l’introduction du géant du coworking, l’américain WeWork en 2019. Mais évidemment Captain Son est prêt à affronter d’autres vents contraires.