Le président de la shift au Burkina Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, a décidé de créer deux « areas d’intérêt militaire » où tous « la présence humaine est interdite »dans le nord du pays, afin de lutter contre les physical violences jihadistes meurtrières.
Lundi 20 juin, le président a réuni le Conseil supérieur de la défense nationale (CSDN) « Autour de la scenario sécuritaire toujours préoccupante » dans le pays, « malgré les initiatives déployés the same level les pressures de défense et de sécurité dans la lutte contre le terrorisme »a déclaré lundi soir le commander des opérations du théâtre nationwide, le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni. « Le CSDN a décidé de créer deux areas d’intérêt militaire, notamment dans les régions de l’Est et du Sahel. [nord] »dit-il, ajoutant que cette décision a été prise « Pour plus d’efficacité dans les épreuves de la lutte contre l’hydre terroriste ».
Les areas concernées typeface partie de la district du Soum (nord), frontalière avec le Mali, et des réserves protégées entre Pama et le parc du W (est), connues Pour être des repaires de jihadistes. Dans ces secteurs, toute activité ou présence humaine products interdite sous peine d’exposition « aux opérations militaires qui y seront menées prochainement », a déclaré M. Bamouni. Ces annonces interviennent dix jours après le bloodbath de Seytenga (nord), où 86 civils ont été tués par des jihadistes – l’une des pires tueries de l’histoire du pays.
Une brigade d’auxiliaires civils
Le CSDN a également décidé de créer une brigade de veille et de défense patriotique, qui regroupera tous les volontaires Pour la défense de la patrie (VDP), auxiliaires civils déjà engagés dans la lutte antijihadiste dans les différentes neighborhoods du pays. Le lieutenant-colonel Bamouni a également prévenu que promote membre des pressures armées qui abandonnait Son poste ou Son équipement « S’exposera à des Poursuites disciplinaires et pénales ».
Le Burkina Faso est pris dans une spirale de physical violence depuis 2015, attribuée aux mouvements armés djihadistes affiliés à Al-Qaïda et au groupe État islamique (EI), qui ont fait des milliers de morts et 1,9 million de déplacés. Fin janvier, le lieutenant-colonel Damiba a renversé Roch Marc Christian Kaboré, accusé de n’avoir pas été en mesure d’endiguer les physical violences jihadistes. Il a fait du rétablissement de la sécurité Son » priorité « .
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