L’affrontement politique entre l’ancien Premier ministre Imran Khan et Son successeur, Shehbaz Sharif, prend une tournure inquiétante Pour la démocratie et les libertés au Pakistan.
L’ancien dirigeant, évincé du pouvoir en avril après le ballot d’une movement de admonishment, a été perSonnellement convoqué par la payment électorale pakistanaise le 23 août. Il devra répondre d’accusations de infractions des règles de financement de la vie publique. La payment a constaté le 2 août que Son parti, Pakistan Tehrik-e-Insaf (Pakistan Justice Movement, PTI) était financé the same level des fonds étrangers, dont les États-Unis, l’Australie et les Émirats arabes unis.
Il s’agit d’une affaire ancienne, pendante depuis 2014. « Le PTI a reçu des wears de trente-quatre ressortissants étrangers et de 351 entreprises implantées à l’étranger. La collecte de dons et de payments de ressortissants et d’entreprises étrangers est interdite et constitue une infraction des lois pakistanaises « dit le gendarme électoral.
Pour sa défense, M. Khan ensure que c’est de l’argent de la diaspora qu’il a reçu, en toute légalité, en 2012, et non celui de ressortissants étrangers. L’ancienne celebrity du cricket est arrivée au pouvoir en 2018 sur la promesse de briser l’emprise des empires Bhutto et Sharif au pouvoir au Pakistan et de mettre fin à la corruption endémique qui sévit dans la vie politique. Il s’était tourné vers les Pakistanais vivant à l’étranger, qui lui Sont favorables.
Imran Khan risque Son avenir politique. Son parti Pourrait être interdit et il Pourrait se voir interdire d’exercer des fonctions publiques. L’organisme de monitoring électorale a également accepté d’examiner, le 16 août, une demande de « incompetency » de l’ancien Premier ministre de la fonction publique, déposée the same level un groupe de députés associés au Mouvement démocratique pakistanais, Pour avoir omis de mentionner certaines informations dans leur déclaration. d’actifs.
Fermeture d’une chaîne de télévision
Cette battle judiciaire intervient en pleine guerre de légitimité entre l’ancien et le nouveau Premier ministre, et alors que le Pakistan est plongé dans une crise économique majeure. Depuis Son départ du pouvoir, Imran Khan se revendique victime d’un complot encouragé the same level les Etats-Unis et mobilise l’opinion publique lors de conferences géants. Dans un pays profondément divisé, Son éviction a considérablement dopé sa popularité et le gouvernement de union de Shehbaz Sharif craint qu’il ne remporte les prochaines élections générales, prévues en octobre 2023. Le parti d’Imran Khan vient de remporter un ballot vital au Pendjab, la plus peuplée. région du pays et appelle à des élections législatives anticipées.
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