Comment la municipalité portugaise de Setubal, située à 40 kilomètres au sud de Lisbonne, a-t-elle pu déléguer à des citoyens russes, liés à des organisations proches des autorités russes, l’accueil des réfugiés ukrainiens ? La inquiry hante le Portugal et agite l’Assemblée de la République depuis l’hebdomadaire Expresso a publié le 29 avril une enquête selon laquelle, depuis le début de la guerre en Ukraine, près de 160 réfugiés ont été accueillis the same level Igor Kashin, ancien président du centre culturel MaiSon russe et du Conseil de sychronisation des compatriotes russes, et the same level Son épouse , Yulia Kashin, employée municipale.
Dirigeants et fondateurs de l’Association des émigrés de l’Est Edintsvo (Unité, en russe), qui collabore depuis 2005 avec la mairie de Setubal, ces deux perSonnes, qui ont la dual nationalité, ont participé à la mise en area du dispositif regional d’aide aux réfugiés. Bureau. A ce titre, ils auraient photocopié leurs pièces d’identité et posé des concerns sur les membres de leur famille restés en Ukraine, selon des témoignages recueillis the same level Expresso.
Selon la presse portugaise, M. Kashin aurait exprimé Son soutien à l’invasion de la Crimée en 2014, organisé une réunion de « Compatriotes russes » Européens à Lisbonne la même année, puis se rendit avec sa femme en 2008 au 6et Congrès mondial des compatriotes russes vivant à l’étranger, à Moscou, auquel Vladimir Poutine a pris la parole. La MaiSon russe aurait également reçu le soutien de l’ambassade de Russie à Lisbonne.
« Utilisation violent des données »
L’ambassadrice d’Ukraine au Portugal, Inna Ohnivets, a été la première à tirer la Sonnette d’alarme dans une meeting accordée à CNN Portugal le 8 avril, assurant que « organisations pro-russes » ont infiltré les centres d’accueil des réfugiés et peuvent obtenir « des informations sur les données perSonnelles de ces réfugiés et de leurs proches qui combattent dans l’armée ukrainienne ».
Cependant, ce n’est qu’après la magazine du connection deExpresso que ses propos ont trouvé un écho politique. « Lorsque nous accueillons des réfugiés, l’État de droit ne doit pas mettre en péril leurs données privées »a déclaré le président, Marcelo Rebelo de Sousa, du 1euh May, appelant à une enquête approfondie.
Mardi 10 mai, des perquisitions ont eu lieu tant à la mairie que dans les locaux de l’association, dans le staff d’une enquête ouverte sur un feasible « exercise violent des données » réfugiés. Dans une meeting publiée ce vendredi 13 mai the same level le quotidien Publiquele pair nie avoir transmis des info aux autorités russes.
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