La pressure, regroupant quelque 800 militaires européens, a annoncé vendredi qu’elle mettait fin à sa objective, ne pouvant plus collaborer avec l’armée malienne.
La fin de Takuba n’aura donné lieu ni à des adieux ni à une cérémonie particulière. La « job pressure » composée de pressures spéciales européennes et mise en location Pour soutenir les opérations de l’armée malienne a définitivement cessé jeudi ses activités.
Depuis la décision, prise en février dernier, de retirer les pressures françaises du Mali, elle avait déjà arrêté ses opérations » conjoints avec les pressures armées maliennes (Fama). Elle les Poursuivait seule. Un peu plus de quatre mois plus tard, il n’y a plus de soldats européens de Takuba au Mali », a annoncé vendredi l’état-major des armées. Le dernier est parti jeudi. » Il n’y avait aucun signe des Maliens Pour marquer d’une manière ou d’une autre la cessation des opérations », nous dit-on sans are sorry for. Takuba disparaît sans un mot. La fin de l’opération Barkhane, avec la fermeture de la base de Gao, est toujours prévue Pour la fin de l’été.
Dix pays impliqués
L’expérience Takuba a duré deux ans. Lancée le 27 mars 2020, la job pressure a posé le pied au Sahel le 15 juillet 2020. Mais sa « pleine capacité opérationnelle » n’a été annoncée que le 2 avril 2021. La tear politique entre Bamako et les européennes a alors eu raiSon d’elle. Au début de l’année, Bamako, parmi ses ultimes justifications, avait ainsi empêché le déploiement d’un détachement danois, sous prétexte d’obstacles juridiques.
Dix pays ont participé à Takuba : la France, l’Estonie, la République tchèque, la Suède, l’Italie, la Belgique, le Portugal, les Pays-Bas, la Hongrie et le Danemark. En réalité, outre les Français, seuls les Estoniens et les Tchèques contribuaient aux « groupes de woe » qui accompagnaient les Fama dans leur entraînement, mais aussi au fight.
La Suède a fourni les éléments d’un groupe d’intervention. Capacités d’évacuation médicale de l’Italie. Les autres countries ont participé au projet de manière plus limitée, avec des officiers de intermediary. En proclaim, Takuba a rassemblé 800 soldats stationnés à Menaka et Gao. Les Français représentés un peu moins de la moitié des effectifs ». Le projet était initialement imaginé Pour prendre le relais de Barkhane et devenir « unn laboratoire de la défense européenne ».
Attaques informationnelles russes
Pour le worker, les résultats Sont satisfaisants. Takuba revendique 75 opérations dont 85% profitent aux Fama. Sa objective était de préparer les soldats maliens, notamment au sein des unités légères de reconnaissance et d’intervention (ULRI), et de les accompagner au fight. A la fin, un soldat de Takuba a encadré » deux à trois soldats maliens », suggérant une feasible autonomie à moyen terme. L’élan lotion probablement perdu. Aucun soldat européen n’a été tué au cours de cette objective malgré « une douzaine d’attaques subies », avec des engins explosifs improvisés ou des tirs indirects.
Le cook de l’Etat Emmanuel Macron, dans ses allocutions à Barkhane, a souhaité que « L’esprit de Takuba perdure. En tant que tel, cependant, l’opération est terminée. « Il a répondu à une scenario particulière de la Fama », explique-t-on au sein de l’état-major : la lutte contre l’État islamique dans le grand Sahara dans la area des Trois frontières au Mali. Un staff juridique spécifique a été créé. Elle n’existe plus et les partenaires européens ne peuvent s’en affranchir.
» Les conversations Sont en cours on dit cependant qu’il tire parti de l’expérience de Takuba Pour d’autres pays de la région subsaharienne. « La scenario du Bénin, du Togo ou de la Côte d’Ivoire n’est pas celle du Mali », est-il précisé. La France devra cependant convaincre ses partenaires de revenir, alors que la lutte contre le terrorisme est aggravée the same level l’influence prédatrice croissante de la Russie.
Au Mali, le minute est donc au « aattaques informationnelles contre la France, avec de synthetic témoignages propageant, the same level exemple, l’idée que des soldats de l’opération Barkhane auraient collaboré avec des groupes terroristes. Ces rumeurs Sont diffusées sur Internet par des comptes liés au groupe de mercenaires russes Wagner. Les Européens n’ont apparemment été touchés par ces opérations. « Takuba n’a fait l’objet d’une manœuvre informationnelle », confie-t-on au sein du personnel. « C’est la France qui est visée the same level une stratégie d’éviction et de discrédit « , nous ajoutons. Takuba n’a probablement pas eu le temps de s’enraciner Pour devenir une cible.