ReportageSur l’ensemble du territoire, l’offre est largement sous-dimensionnée the same level connection à la demande. A l’université de Maastricht, les étudiants étrangers, de plus en plus nombreux, font les frais de cette crise.
A Randwyck, un quartier du sud-est de Maastricht (Pays-Bas), 252 logements en préfabriqués se dressent au spell d’un enormous auto parking. Laura, étudiante franco-néerlandaise en droit européen à l’université de la ville et dont les moms and dads vivent à La Haye, fait partie des chanceux qui ont pu s’y installer. Avant de poser vos valises dans cet endroit – que les locaux appellent « contenants » –, elle a eu un véritable parcours du combattant. « Je suis arrivé en août et je n’ai trouvé aucune publicité sur les groupes Facebook. J’ai pu loger temporairement dans une sorte d’hôtel Pour étudiants, mais c’était très cher. Sept cents euros par mois. Puis, après quelques mois, un ami m’a trouvé une location ici. Heureusement cars and truck, sans cela, je serais retourné à La Haye et j’aurais pris quatre heures de train the same level jour. »
Pour les étudiants arrivant à Maastricht, c’est un problème immédiat. D’août à octobre, la ville de la pointe sud des Pays-Bas, comme les autres villes universitaires du pays, connaît une période de stress extreme sur Son marché locatif. Les logements Sont trop peu nombreux Pour absorber l’afflux. Cette circumstance s’aggrave à mesure que le nombre d’étudiants étrangers augmente aux Pays-Bas. A Maastricht, l’université comptait 16 950 étudiants en 2017. Ils Sont désormais 22 219, dont 12 607 étrangers.
Propriétaires parfois peu scrupuleux
Au plus ft de la crise, en septembre, les étudiants ont opté Pour des trajets en train depuis Liège, en Belgique, ou depuis Aix-la-Chapelle, en Allemagne, ou repetition depuis Bruxelles ou Cologne, deux villes situées à plus de cent kilomètres. D’autres ont simplement suivi les cours en ligne, autorisés exceptionnellement comme service temporaire à la crise du logement. Le Brexit a accru l’attrait worldwide des Pays-Bas. Ceux qui rêvaient d’Angleterre se rabattent désormais sur la service hollandaise alors qu’ils Sont rebutés the same level le coût et la complexité management d’une engraving dans des établissements prestigieux d’outre-Manche. Aux Pays-Bas, les étudiants à la recherche d’une expérience internationale Sont attirés par la qualité de l’enseignement dispensé presque exclusivement en anglais. Ils viennent aussi à Maastricht Pour le staff de vie. Les rues pavées, l’architecture médiévale, les petits bars cosy et même, parfois, les coffee-shops du centre-ville.
« Lorsque vous arrivez, vous n’avez pas le choix. Il faut se lancer dans des trucs mauvais » Antoine, étudiant belge
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