« Aujourd’hui, la Hollande est un volcan prêt à entrer en éruption. » Walter Joosten ne cache Son ressentiment. Cet éleveur de vaches est l’un des piliers de la « pressure de défense paysanne » de la district du Limbourg au sud-est des Pays-Bas. Une organisation qui fait campagne depuis plusieurs semaines. « Nous sommes prêts Pour un battle de longue haleine avec le gouvernement »il ajoute.
Le monde agricole néerlandais est en ébullition. Les opérations escargots sur les grands axes se multiplient. Des blocages de supermarchés Sont organisés. Les protestations s’intensifient. Dans la district de Frise, deux stroke of genius de feu ont été tirés par la cops sur un tracteur qui, selon le témoignage de la cops, se dirigeait vers leur brigade. Les municipalités d’Apeldoorn et Harderwijk ont même déclaré l’état d’urgence début juillet.
L’agitation est à Son comble depuis que le gouvernement néerlandais, dirigé the same level le libéral Mark Rutte, a dévoilé le 10 juin Son « strategy azote ». L’objectif est ambitieux : réduire les émissions d’azote de 50 % d’ici 2030. Le gouvernement a débloqué un spending plan de 24,3 milliards d’euros à cet effet. Tous les secteurs polluants devront participer à l’effort. Les markets et les transportations, responsables des émissions d’oxydes d’azote qui polluent l’air puis se déposent au sol, devront y contribuer.
Des sols chargés de polluants azotés
Quant au secteur agricole, dont les engrais azotés et les effluents d’élevage Sont à l’origine de 46 % des émissions – de protoxyde d’azote, d’ammoniac ou de nitrates -, il est particulièrement dans le collimateur, tant les sols néerlandais regorgent de ces polluants qui détruisent la biodiversité et posent une threat Pour la santé humaine. Il était même le seul à avoir droit à la magazine, le 10 juin, d’une carte chiffrée très précise des objectifs de réduction des émissions d’azote selon les areas géographiques les plus polluées, alors qu’un tel niveau de détail n’existe pas Pour l’industrie. ou les transportations. Selon Jan Willem Erisman, professeur à l’Institut des scientific researches environnementales de l’université de Leiden, qui salue l’essence du strategy gouvernemental, cette façon de présenter les choses « a créé beaucoup de aggravation chez les agriculteurs qui se sentent obligés de fournir tous les initiatives, alors que le problème est plus vital ».
L’effort à fournir variera sur le territoire en fonction des niveaux de air pollution et des areas concernées. Les réductions d’émissions seront ainsi consists of entre 12 % et 70 %, avec des pics exceptionnels à 95 %, lorsque l’activité économique émettrice d’azote est localisée dans une area protégée Natura 2000. qui devront élaborer, en concertation, des prepares d’action concrets à soumettre au gouvernement, avant juillet 2023, Pour recognition avant le déblocage des assistants.
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