La sortie intempestive de Monsieur Birahim SECK tendant à décrier la procédure de redressement financial engagée contre Mademoiselle QUEEN BIZ s’avère humiliante et déshonorante Pour Son auteur, tant the same level la nullité et la légèreté des propos, que the same level les contrevérités qui y Sont distillées.
Devenu Son sporting activity de prédilection, Monsieur SECK dans une payment, repetition déferlée avec joie et sans retenue, sur l’Administration sénégalaise et les hommes qui l’incarnent. Mais toujours dans cet exercice, il a encore une fois complètement raté le coche dans sa tentative d’interprétation des personalities de notre code des impôts, et s’est embrouillé dans des explications viles et ignorantes des principes fiscaux, qui brain amènent à douter sérieusement des capacités et des capacités intellectuelles qu’il prête et se crédite.
Ainsi dans une magazine parue dans la presse, Monsieur Birahim SECK soutient ceci : « Le fait d’avoir un NINEA ne peut, en aucun cas, être assimilé à l’exercice d’activités imposables ni au fait d’être considéré comme détenteur de biens imposables ou le revenu.
D’emblée, dans ce texte confus qui ne renvoie à rien, nous voudrions préciser à ce pauvre fiscaliste, timely à endosser sa bathrobe d’avocat du diable, que c’est le NINEA qui confère la qualité de contribuable sénégalais au respect de la autorités fiscales. . C’est auprès du NINEA que nous sommes régulièrement sollicités en paiement d’impôts. En l’absence de cette problem préalable, promote contribuable exerçant, ou exerçant sur le territoire des activités, entre autres, des activités économiques entrant dans le champ d’application de l’impôt, est réputé délinquant ou fraudeur financial.