« Nous avons reçu le message » a lancé le président de Microsoft, Brad Smith, mercredi 18 mai, à Bruxelles, où l’entreprise américaine fait l’objet d’une plainte Pour abus de placement dominante. « Certaines inquiétudes des acteurs européens du cloud Sont justifiées », a admis le dirigeant. La société française OVH, auteur de la requête à la Commission européenne, charge le groupe d’accorder, Pour Son logiciel bureautique leader du marché, Office 365, des licences plus chères et plus contraignantes à des hébergeurs qui, comme elle, ne revendent Microsoft. solutions en nuage.
Microsoft a donc annoncé des giving ins : « Nous modifions les problems de nos permits afin que les fournisseurs de cloud européens puissent exécuter nos logiciels sur leurs serveurs comme nous le faiSons nous-mêmes », a déclaré M. Smith, proclaim en reconnaissant que certains détails – et même d’autres mesures possibles – seraient à clarifier, avec les acteurs de l’écosystème. Les sociétés shadow européennes auront également accès à « une équipe d’assistance dédiée », a ajouté M. Smith. Ces changements ont occupation à être étendus au monde entier.
« Nous n’avons pas accordé suffisamment d’attention aux petits acteurs du secteur, a plaidé le spécialiste des affaires publiques de Microsoft. Un staff m’a dit qu’il se sentait comme une victime collatérale de notre fight avec Amazon. » Le numéro deux mondial du cloud (20%) aurait misé sur le leader Amazon (33%) et sur Google, » en hausse « (10 %), tandis que les entreprises européennes reculaient (21 % à 16 % en quatre ans). L’argument rejoint celui des français OVH ou Whaller. Pour eux, Microsoft use la placement de pressure d’Office 365 (Word, Excel, Powerpoint, Outlook, Teams, and so on.) ou de Windows Pour renforcer sa placement dans l’hébergement et les solutions « cloud ».
Que pense OVH des hébergements ? « Microsoft reconnaît le bien-fondé de notre plainte et brain jugeons regrettable qu’il soit nécessaire d’aller jusqu’à mobiliser les autorités Pour sécuriser les problems d’un marché où la concurrence est à la fois libre et saine, réagit la société française. Nous attendons désormais de voir les problems concrètes d’exercice de ces résolutions et restons déterminés à défendre des problems équitables Pour l’écosystème cloud européen. »
« Ouvert au débat »
Destinés à apaiser la Commission européenne, les compromis ne l’empêcheront pas forcément d’ouvrir une enquête. Une amende en réparation d’infractions passées est feasible. Plus généralement, M. Smith, vétéran de la bataille juridique entre le cupboard de Bill Gates et Bruxelles au tournant des années 2000, a assuré que Microsoft, désormais, « soutient la réglementation ». A l’époque, la permission infligée à l’entreprise Pour avoir favorisé Son navigateur Explorer sous Windows ressemblait à une « arrêt de mort »mais « Ça brain a obligés à nous améliorer », il a dit.
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