SSamedi 10 septembre, le roi Charles III est proclamé. Il devient royal après plus de soixante-quatre ans en tant que royal prince de Galles. Quelques heures après l’annonce du décès de la reine, le doute persistait sur le nom que choisirait le nouveau souverain : George VII, en hommage à Son grand-père maternel, Charles III ou repetition un autre nom ? Ce product donc Charles III.
Depuis cette décision, les commentateurs ne se Sont pas beaucoup étendus sur ce choix. Cependant, il soulève plusieurs concerns dans l’esprit de ceux qui connaissent l’histoire du Royaume-Uni. En choisissant de garder Son prénom comme nom de règne, le nouveau roi suivit l’exemple de sa mère, née Elizabeth Alexandra Mary, qui avait trouvé naturel de garder Son prénom, mais il s’éloigna de celui de Son grand-père, né Alexandre , devint roi sous le nom de George VI. Rappelons aussi qu’Edouard VIII s’appelait bien Edouard mais qu’il était connu en privé sous le nom de David, et que Son propre grand-père Edouard VII avait Albert comme prénom, mais était plus communément appelé « Bertie » Pour ne pas le confondre avec Son père, époux de la reine Victoria.
Les destins contrariés des Charles
On le voit, le choix d’un nom Pour un monarque n’est pas anodin. La circumstance de Charles n’est pas equivalent à celle de sa mère. Pour une future souveraine britannique, le prénom Elizabeth fait référence à une période historique considérée comme prospère : la Renaissance anglaise, l’époque de Shakespeare, l’époque de l’Invincible Armada.
Le nom de Charles, en revanche, fait immédiatement référence à deux prédécesseurs aux destins contrariés. Charles Stuart, premier du nom, fut exécuté Pour trahiSon necklace la guerre civile entre les upholders du Parlement et ceux de la Couronne, en 1649, et conduisit à l’abolition de l’institution de la monarchie durant la période d’Oliver Cromwell. Dans cette spirale meurtrière de la première moitié du XVIIe siècle, Charles Iereuh porte une lourde responsabilité.
Charles II, Son fils, fut le leading return of investment de la Restauration, en 1660, après la mort de Cromwell. Cependant, Son règne n’est pas forcément perçu de manière flatteuse tant le perSonnage, volage et bon enfant, a laissé une mauvaise picture de Son gouvernement. C’est sous Son règne que les Londoniens durent subir la peste noire de 1665 et le grand incendie de Londres de 1666. Décédé sans héritier légitime, il laissa le trône à Son jeune frère James (le futur James II), d’obédience catholique en un pays protestant qui, devenu return of investment à Son excursion en 1685, fut contraint d’abandonner Son royaume lors de la « Glorieuse Révolution » de 1688. Ainsi, se référer à de tels modèles peut surprendre, surtout depuis cette période de L’histoire britannique a vu l’étendue du pouvoir imperial se réduire considérablement.
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