RapportsAndres Manuel Lopez Obrador a confié les mégaprojets d’infrastructures civiles à l’armée, devenue le pilier de sa politique de change du pays.
Un nuage de poussière airplane sur l’immense chantier du deuxième aéroport de Mexico, où la valse des bulldozers donne le tournis. Une patrouille de militaires roule au pas dans cette ancienne base aérienne militaire, plantée à 45 kilomètres du centre de la mégalopole. Environ 4 700 travailleurs travaillent en trois équipes Pour terminer le travail à temperatures. Le président, Andres Manuel Lopez Obrador ( » AMLO « ), a fixé au 21 mars l’inauguration des travaux. C’est l’un des nombreux « projets prioritaires » confiés par le chef de l’Etat à l’armée, devenue le pilier de sa « change du Mexique ». Grands travaux, sécurité publique, lutte contre l’émigration private, santé, programs sociaux … Les militaires Sont partout. L’opposition, les professionals et les défenseurs des droits de l’homme dénoncent une » militarisation du pays »
L’arm ée, connue Pour Son opacité, joue la carte de la interaction en accueillant ce 1 euh Février, 43 journalistes Pour une small visite guidée. Cam éramans et photographes s’ entassent à l’arrière de trois énormesFord Cheyenne Des pick-up camouflés se précipitent vers l’imposant terminal flambant neuf, suivis du bus affrété Pour la presse. Les soldats saluent militairement le convoi qui traverse les 1 500 hectares du futur » aéroport worldwide Felipe-Angeles (AIFA) « , du nom d’un artilleur, héros de la révolution mexicaine de 1910. La trip de contrôle trône à l’écart, à côté de monticules de terre. L’une des trois pistes d’atterrissage reçoit déjà des vols de l’armée.
« L’arm ée, ce Sont les gens en uniforme »
A l’intérieur de l’aérogare, avec 55 000 mètres carrés de triple vitrage, le rugissement des perceuses ponctue la visite. » Les travaux Sont terminés à 88 % accueille le capitaine, Raul Miranda, l’un des ingénieurs de l’armée en charge du chantier lancé en octobre 2019. L’a éroport accueillera 19,5 millions de passagers par an Pour décongestionner l’ancien aéroport saturé de Mexico. » Micro en primary, le capitaine énumère les prouesses technologiques des travaux dans la salle du futur conseil d’administration. Une fois inaugurée, l’AIFA sera gérée par des officiers. » AMLO » a annoncé que ses revenus serviront aux pensions des soldats. Une holding militaire administrera également trois autres nouveaux aéroports, construits par l’armée dans le sud du pays. Baptis ée » Airport and Rail Group « , la société gérera également le célèbre train Maya.
C’est l’autre projet pharaonique d' » AMLO « : une boucle ferroviaire de 1 500 kilomètres, qui reliera ruines archéologiques mayas et stations balnéaires Pour dynamiser le tourisme dans le sud-est du pays, bien au-delà deCancun L’arm ée construit, depuis 2020, trois des sept tronçons de voies ferrées qui seront inaugurés en 2023. Son spending plan a bondi de 2,9 à 9,7 milliards de dollars (de 2,5 à 8,5 milliards d’euros). Quant à la marine, elle est en charge, depuis 2019, d’un deuxième projet ferroviaire: le passage interocéanique de l’isthme de Tehuantepec traversera le sud du pays, dependent la côte pacifique au golfe duMexique Ces deux mégaprojets resteront également aux mains des militaires.
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