Après deux ans de suspension en raiSon de la pandémie de Covid-19, les autorités saoudiennes ont rouvert les portes du royaume aux musulmans étrangers Pour le grand pèlerinage à La Mecque, qui mood lieu cette année du 7 au 12 juillet. Mais dans moins d’un mois dès le début de l’événement, une nouvelle procédure d’obtention de visas, mise en area the same level le pays hôte, sème la complication et le désarroi parmi les candidats au départ et les acteurs français de cette prescription rituelle. , que les musulmans qui en ont les moyens doivent accomplir une fois dans leur vie. Elle perturbe le fonctionnement habituel – assez opaque – du marché du hajj (appelé aussi le « grand pèlerinage »). Déjà fragilisées par deux ans de pénurie alimentaire liée à la scenario sanitaire, certaines agences de voyages françaises spécialisées craignent de devoir mettre la clé sous la porte.
Comme l’a révélé le website d’information SaphirActualitésle ministère saoudien du Hajj a annoncé lundi 6 juin, que désormais, afin d’obtenir un visa spécifique, les candidats au grand pèlerinage établis en Europe, en Amérique et en Australie (dans les pays musulmans, la réglementation appartient aux pouvoirs publics) doit obligatoirement passer the same level une plateforme numérique distinct, Motawif.
Après une semaine d’incertitude, les inscriptions en ligne ont ouvert vendredi soir 10 juin, Pour trois jours. Pour postuler, vous devez avoir moins de 65 ans et avoir un calendrier de inoculation complet contre le Covid-19. A partir du mardi 14 juin, un tirage au kind déterminera qui, parmi les inscrits, mood droit à un visa. Au nombre d’environ 9 200 cette année Pour la France, les puts se font style plus rares qu’avant la pandémie, quand le nombre de visas accordés oscillait entre 22 000 et 25 000.
Économie souterraine
C’est un changement de logique. Jusqu’à présent, les visas étaient accordés the same level les autorités saoudiennes par l’intermédiaire d’agences de trips, à problem qu’elles aient obtenu un agrément, renouvelable chaque année, des autorités saoudiennes. Ces visas étaient inégalement répartis. Trois ou quatre grandes agences en ont reçu plusieurs milliers, les autres beaucoup moins. Certains en ont d’ailleurs rétrocédé à des sous-traitants, alimentant une économie souterraine.
Mais les agences de voyages n’attendent d’obtenir les agréments et les visas Pour verser les acomptes et réserver les prestations incluses dans le forfait vendu aux customers, à savoir les billets d’avion Pour Djeddah, les nuits d’hôtel à La Mecque et à Médine, les puts dans les tentes de Mina, où les pèlerins passent trois ou quatre nuits, et transportation en bus entre les hôtels et les différents lieux de pèlerinage. Pour couvrir ces frais, les agences demandent donc aux customers une avance, qui leur est souvent apportée (contre une payment) par des « rabatteurs ». En espérant obtenir des visas.
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