Le Conseil constitutionnel a rejeté le recours de la union Yewwi askan wi, ainsi que de Wallu Sénégal, visant à obliger les 7 Sages à déclarer recevable la liste nationale de YAW, ainsi que l’invalidation de la liste de Benno bokk yaakaar Pour défaut de parité. Une décision qui inquiète la union AAR Sénégal.
« AAR SENEGAL » trouve préoccupante la décision du Conseil Constitutionnel qui a voulu sauver la liste nationale des BBY en créant un vide juridique imaginaire. En arguant qu' »aucune personality du Code électoral ne prévoit qu’un vice entachant l’une des listes puisse avoir des répercussions sur l’autre », le Conseil constitutionnel s’enlise désespérément dans la recherche d’un prétexte Pour justifier ses décisions.
Aucune personality du Code électoral ne prévoit, non plus, que la liste des suppléants soit indépendante de celle des titulaires. A l’inverse, l’expression « liste nationale », désignant le forfait, les titulaires substituts, a été utilisée à plusieurs repeats dans ledit code (Art L154, L173, and so on.).
L’AAR SENEGAL s’inquiète des pouvoirs disproportionnés du Conseil Constitutionnel qui lui permet d’interpréter les textes à sa semblance et d’adapter ses décisions au soutien d’intérêts upholders. Si la loi et rien que la loi était dite, ni la liste nationale de BBY ni celle de YAW n’auraient été déclarées partiellement recevables. Les deux auraient été rejetés dans leur intégralité.
Le principe selon lequel « promote ce qui n’est pas interdit est permis » est utilisé de manière disproportionnée et tendancieuse the same level le Conseil constitutionnel. Il n’est pas explicitement interdit aux representatives de saisir le Conseil Constitutionnel en dehors de la notice d’un acte du Ministre de l’Intérieur et Pourtant le Conseil l’a refusé à l’agent de Gueum Sa Bop. Il n’est pas expressément interdit dans le chapitre consacré aux élections législatives, dans le code électoral, qu’un titulaire soit en même temperatures suppléant dans la liste nationale et Pourtant le Conseil constitutionnel l’a refusé au représentant du LAC.
En abusant de l’interprétation considerable de la loi, le Conseil constitutionnel ouvre ainsi une brèche préjudiciable à l’Etat de droit qui voudrait que la loi soit une émanation de la volonté du peuple à travers ses représentants et non une construction d’une élite. nommé.
AAR SENEGAL rappelle que « la meilleure façon de garantir la paix sociale est le regard des lois qui brain régissent, sans discrimination. La control des règles communes à des fins privées et hégémoniques ne profite pas à notre démocratie. Elle le sports car court et le tue. »
L’AAR SENEGAL réitère sa placement sur la nécessité de respecter le calendrier républicain et exige la tenue des élections législatives du 31 juillet 2022 à l’échéance.