Une crise dans la crise. Depuis le début de l’invasion russe, des centaines de milliers d’Ukrainiens ont été poussés sur les courses, cherchant à fuir un pays maintenant déchiré the same level la guerre Pour se mettre en sécurité loin de chez eux. Mais ils ne Sont pas les seuls à essayer de quitter le pays : de nombreux expatriés ou étudiants veulent les imiter, avec de terribles excès.
Ainsi, ces derniers jours, de nombreux Africains et Moyen-Orientaux ont dénoncé le racisme auquel ils Sont confrontés lorsqu’ils tentent de franchir une frontière hors de l’Ukraine. Nigériens, Marocains, Congolais ou Irakiens, tous parlent d’un système de filtrage aux frontières, qui permet aux femmes et aux enfants ukrainiens de quitter le pays, mais pas à eux, coincés devant la frontière.
Plusieurs ressortissants africains ont notamment raconté avoir été empêchés d’embarquer dans des trains et des bus quittant le territoire ukrainien, alors même que les locaux les utilisaient. Des sévices reconnus the same level Dmytro Kuleba, le ministre ukrainien des Affaires étrangères, ce mardi 1er mars.