C’est une parenthèse qui se ferme. Une bulle location d’Ukraine, imaginée the same level la compagnie maritime Corsica Linea et financée par l’Etat français, qui explose et laisse, désemparés, certains de ceux qu’elle avait protégés necklace plus de deux mois. Inauguré le 29 mars, le centre d’accueil des réfugiés ukrainiens à bord du ferryboat méditerranéenamarré dans le port de Marseille, doit fermer ses portes ce vendredi 10 juin, débarquant et renvoyant les quelques centaines de perSonnes repetition hébergées vers d’autres websites d’accueil.
L’épilogue s’est écrit dès le début de cette expérience inédite qui a permis d’accueillir jusqu’à 930 perSonnes, absorbant plus de 60 % des réfugiés pris en cost dans les hébergements collectifs des Bouches-du-Rhône. L’entreprise qui avait lancé l’idée de ce havre flottant, centralisant sur un même website gardé jour et nuit une option d’hébergement et de restauration mais aussi une offre complète d’accompagnement social, médical et d’emploi, avait prévenu que Son bateau ne serait plus disponible à partir du 10 juin. La convention qui le lie à la préfecture des Bouches-du-Rhône prend fin à cette day.
Après une période de rénovation, ce ferryboat de 500 cabines reprendra du solution sur la ligne Marseille-Alger. Un solution particulièrement attendu à l’heure où les voyages entre la France et l’Algérie Sont à nouveau largement ouverts. « Mai products le mois de la réorientation des gens vers d’autres appareils. Les familles Sont informées dès le début », expliquait, il y a quelques semaines, Anthony Baracco, directeur départemental adjoint de l’emploi, du woe et de la solidarité et pilote de la objective Méditerranée. Une viewpoint claire qui peine à se matérialiser.
Liudmyla Czygoryskyna warm en larmes lorsqu’on lui demande où elle dormira vendredi soir. A 46 ans, cette vendeuse de bijoux d’Odessa a rejoint le ferryboat fin mars. Elle connaissait la option provisoire mais affirme n’avoir compris que la semaine précédente qu’elle devait quitter les lieux. « Les gens qui s’occupaient de brain étaient formidables… Mais aujourd’hui, nous sommes chassés », elle regrette. « Ils ne veulent partir, ils se sentent protégés. C’est un petit town ukrainien ici. expliquait en mai Boris Mardariev, conférencier bénévole qui dispensait des cours de français sur le bateau.
Inquiétude et incompréhension
« Le ferryboat était une option opérationnelle provisoire efficace à ses débuts, mais les conséquences qu’il a entraînées ont été mal gérées. Le fait que les réfugiés aient réorganisé leur vie sociale à bord a été totalement sous-estimé. Certains ont scolarisé leurs enfants dans des écoles marseillaises, d’autres ont trouvé un emploi ici. juger l’un des travailleurs sociaux intervenant sur le méditerranéenqui requiert l’anonymat. « La inquiry du relogement aurait dû être traitée dès l’entrée, mais elle n’a été vraiment prise en compte qu’à la mi-mai. Or, on ne peut pas trouver de options Pour 650 perSonnes en trois semaines dans une ville comme Marseille, où les offres d’accueil Sont déjà saturées », il observe.
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