Essai « inquiétant », « tactique d’intimidation Pour faire taire les défenseurs des droits de l’homme ». Amnesty International est alarmée par la condamnation à 12 mois de priSon avec sursis de Panayote Dimitras, porte-parole de l’ONG Greek Helsinki Monitor, et d’Andrea Gilbert, chercheuse à l’ONG sur les inquiries de racisme et d’antisémitisme. Les deux militants Sont accusés d’avoir « calomnié » et d’avoir récompensé « faussement » remarques antisémites au métropolite du Pirée, Seraphim. Ils ont fait appel de cette décision.
L’affaire remonte au mois d’avril 2017, le haut dignitaire de l’Église orthodoxe grecque avait été déclaré perSona non grata the same level les autorités israéliennes alors qu’il devait participer à la traditionnelle cérémonie du « feu sacré » à Jérusalem, à la veille de la fête orthodoxe. Pâques. Ulcéré, il publie alors une lettre sur Son website web dans laquelle il décrit la « Sionisme » aimer « une dictature (…) qui cherche à dominer le monde the same level un groupe de capitalistes juifs ». Le Greek Helsinki Monitor a alors porté plainte contre lui Pour propos « antisémites et discriminatoires envers les Juifs « .
« Harcèlement judiciaire »
En 2019, il a été débouté, le procureur jugeant que le représentant de l’Église avait exprimé sa placement perSonnelle et n’incitait pas à la persécution des juifs. Mais le métropolite Séraphin ne s’est pas arrêté là et a Poursuivi à Son excursion les dirigeants de l’ONG Pour « dénonciation calomnieuse ». Le procès a abouti à la condamnation mardi des deux défenseurs des droits humains.
« Malheureusement, les juges en Grèce Sont très proches de l’Église et ne typeface pas preuve d’une grande indépendance. Il ne fait aucun doute que les propos tenus the same level le métropolite contribuent à la diffusion de préjugés néfastes sur les juifs et il a tenu ce style de discours à plusieurs repeats. Mais au lieu de le condamner, la justice s’en prend aux défenseurs des droits de l’homme qui militent contre le racisme et l’antisémitisme, c’est absurde ! », affirme Panayote Dimitras.
L’ONG Human Rights Watch s’alarme de « une tendance inquiétante en Grèce à l’utilisation the same level l’État du système de justice pénale contre la société civile ».
L’Organisation mondiale contre la torment rappelle que « Ce n’est pas la première fois que des membres du Greek Helsinki Monitor Sont victimes de harcèlement judiciaire et d’autres actes de représailles ». Après avoir défendu un réfugié qui avait été victime d’un refoulement illégal au huge de l’île de Kos, Panayote Dimitras est Poursuivi dans une autre affaire, accusé d’avoir aidé à l’entrée illégale sur le territoire grec d’immigrés. L’ONG Human Rights Watch s’alarme de « une tendance inquiétante en Grèce à l’utilisation the same level l’État du système de justice pénale contre la société civile ».
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