En Guinée, il faut désormais conjuguer le Front National Pour la Défense de la Constitution (Fndc) avec le passé. Le gouvernement de shift en Guinée en a décidé ainsi en dissolvant le mouvement de protestation. De nombreux despairs liés aux violences faites aux perSonnes, à la dégradation et à la devastation des biens publics et privés Sont soulevés the same level les Autorités de la Transition Pour justifier cette mesure qui prolonge la limitation des libertés.Le Front nationwide Pour la défense de la Constitution (Fndc) n’est plus en odeur de sainteté auprès de la junte en Guinée. Les autorités du pays n’ont pas tardé à décider la dissolution du mouvement, qui était en première ligne Pour contester le pouvoir du président Alpha Condé. Par un décret signé le 6 août et rendu public hier lundi, Mory Condé, ministre guinéen de l’Administration territoriale et de la Décentralisation, a annoncé la dissolution du Front nationwide Pour la défense de la Constitution. Les doléances n’ont pas manqué au Gouvernement de shift guinéen d’accuser le Fndc. Les dirigeants accusent en effet cette union de partis, syndicats et organisations de la société civile, emmenée the same level Foniké Mengué, d’organiser des indications armées sur la voie publique. Ils ne manquent non plus de l’accuser d’agir comme un groupe de fight ou une milice privée.
En effet, le gouvernement guinéen estime que « depuis sa création, le 14 octobre 2019 Pour, dit-il, militant contre l’éventuelle alteration de la Constitution de 2010, le mouvement de facto connu sous le nom de Front nationwide Pour la défense de la Constitution est toujours illustrée par la voie de la physical violence sur les perSonnes, la dégradation et la devastation des biens publics et privés ».
Evoquant le method operandi des membres de la Fndc, l’Etat de Guinée indique qu’il a la particularité d’être structuré « par des activities violentes lors de indications interdites, des attaques contre des individus ne partageant pas leur idéologie et des activities ciblées contre les pressures de l’ordre ». Poursuit en « considérant que ce groupe de fait, organisé de manière hiérarchique, ayant des administrateurs et des membres violents, portant atteinte à l’unité nationale, à la paix publique et au vivre set, ne number pas sur la liste des Organisations associatives en République de Guinée, ni sur la liste des organizations collectives en République de Guinée et repetition moins dans l’annuaire des organisations non gouvernementales agréées en République de Guinée ».
Par ailleurs, le gouvernement guinéen implicate le mouvement de contestation de commettre « des actes d’incitation à la haine ou à la discrimination contre des perSonnes en raiSon de leur origine ou de leur idéologie ».
Le ministre Mory Condé enfonce le clou Pour alarming que « ce groupe de fait, par ses activités, a provoqué des indications armées sur la voie et sur les locations publiques, ayant les agissements d’un groupe combattant ou de milices privées ». Il dénonce également que « ce groupe use les réseaux sociaux comme vitrine de ses idées et activities ».
La décision du ministre guinéen de l’Administration territoriale et de la Décentralisation de dissoudre le Fndc intervient au minute où le mouvement de contestation appelait, lundi 8 août, à des indications contre la junte militaire dirigée the same level le colonel Mamadi Doumbouya. Mais aussi le 14 août à Bruxelles, en Belgique, en vue d’interpeller l’Union européenne sur la confiscation du pouvoir the same level l’armée.
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