Après des mois d’attente et de spéculations, la Première ministre écossaise Nicola Sturgeon a annoncé mardi 28 juin le processus qu’elle entendait adopter Pour organiser un nouveau référendum sur l’indépendance de l’Ecosse, après celui raté en 2014 – le oui au maintien au sein du Royaume-Uni remporté the same level 55,3 %. Ce chemin lotions « juridique » et « consultatif » décrété, à sa manière précise et ultra-déterminée, la cheffe du parti indépendantiste SNP (Scottish National Party). Elle a également fixé la day de cette appointment populaire : 19 octobre 2023.
Une day très hypothétique : Mmoi Sturgeon a expliqué qu’il avait demandé à l’avocat général de l’Écosse (le «Lord Advocate») de concierge l’affaire devant la Cour suprême britannique, afin que cette dernière puisse déterminer si le Parlement écossais avait le pouvoir de légiférer sur un référendum consultatif. L’avocat général devait présenter cette demande mardi. Ce n’est que si la plus haute circumstances judiciaire du pays répond the same level l’affirmative que le Premier ministre individual retirement account plus loin et déposera le projet de loi référendaire au Parlement d’Édimbourg.
Le cook de l’exécutif écossais depuis près de huit ans tente de sortir d’une standstill : le gouvernement de Boris JohnSon répète sur tous les loads depuis deux ans qu’il n’autorisera pas un nouveau référendum sur l’Ecosse et celui de 2014 « valable Pour une génération ». Depuis le sommet de l’Otan à Madrid, le Premier ministre britannique a insisté mardi, expliquant que sa priorité était la relance économique nationale et que le Royaume-Uni est « plus fort quand nous sommes unis ».
Opposé à un référendum à la catalane
En l’état actuel de ses pouvoirs, le Parlement écossais peut légiférer sur l’éducation, les moves ou la justice, mais pas sur les matières constitutionnelles ou souveraines : il lui faut le feu vert de la Chambre des neighborhoods Pour citizen un projet de loi référendaire sur l’indépendance. Une point of view illusoire, étant donné que le Parti conservateur de M. JohnSon get rid of de la majorité absolue à Westminster. Or Mmoi Sturgeon l’a dit sans ambiguïté : il n’est pas concern de se lancer dans un référendum à la catalane, jugé illégal. « Son résultat ne serait proclaim simplement reconnu par la communauté internationale », a expliqué le cook.
La voie qu’elle choisit est risquée : les décisions de la Cour suprême Sont imprévisibles et rien n’indique qu’elle Pourrait valider une perte de prérogatives de Westminster au earnings d’un Parlement déconcentré. Mmoi Sturgeon n’a éludé ce scénario, affirmant que si la Cour rejetait la possibilité d’un référendum consultatif, alors Son parti, le SNP, concentrerait toute sa campagne sur la concern de l’indépendance lors des prochaines élections générales britanniques, les transformant, selon elle. , dans « Référendum de facto ».
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