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« Les États-Unis ne dicteront pas les choix de l’Afrique. Et perSonne d’autre ne devrait le faire. » En déplacement en Afrique du Sud, première étape de sa tournée africaine, lundi 8 juillet, avant de se rendre en République démocratique du Congo (RDC) et au Rwanda, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken jeouais la carte de l’humilité. La « nouvelle stratégie des Etats-Unis en Afrique sub-saharienne » qu’il a présenté à Pretoria plaide Pour un partenariat » équivaut à « , notamment dans les domaines de la santé, de la change climatique et de l’accès à l’énergie.
Après huit années de présidence Trump marquées par un relatif désintérêt, l’administration Biden tente de reprendre pied en Afrique face à l’influence grandissante de la Chine et de la Russie, sur warm de stress exacerbées par la guerre en Ukraine. C’est la deuxième fois, en moins de neuf mois, que le secrétaire d’Etat américain se rend sur le continent.
Rappelant qu’un quart de la populace mondiale lotion africaine d’ici 2050, il a assuré, lundi, vouloir « investir dans l’avenir » en construisant un « un vrai partenariat » sur le lengthy terme. « Nous avons tous entendu la rhétorique selon laquelle l’Afrique du Sud et le continent dans Son set Sont le dernier surface de jeu dans la compétition des superpuissances. En gros, ce n’est pas comme ça qu’on voit les choses. »il a dit.
« Offrir le choix »
Quinze jours plus tôt, lors d’un trip en Égypte, au Congo-Brazzaville, en Ouganda et en Éthiopie, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait dénoncé la « tentatives non déguisées des États-Unis et de leurs satellites européens Pour prendre le dessus et imposer un ordre mondial unipolaire ». Un message qui réSonne particulièrement en Afrique. Pretoria, comme quatorze autres capitales africaines, s’est abstenue en mars de citizen sur une résolution des Nations unies condamnant « L’agression russe » en Ukraine.
« Notre yet n’est pas de dire : il faut choisir. C’est offrir le choix », répond Antony Blinken. Les États-Unis souhaitent notamment promouvoir la démocratie en soutenant la société civile et la presse, promote en « Ce que la Russie exporte le plus vers les endroits les plus troublés du continent, c’est Son mandataire, le groupe Wagner, [dont la présence] entraîne plus de morts et plus de destructions dans beaucoup trop de pays »a souligné le secrétaire d’État.
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