Leur presence n’est pas un key. En 2006, selon les dernières données officielles, le nombre de puits illégaux en Espagne était estimé à près de 510 000. « Ils seraient en réalité plus d’un million », dit Julio Barea, Officier de l’eau de Greenpeace.
Ces puits, qui entraînent la contamination des nappes phréatiques, se trouvent surtout à proximité des areas d’agriculture extensive, notamment en Andalousie, dans la région de Murcie, et dans les areas touristiques. « Le vol d’eau est l’un des criminal activities contre l’environnement les plus commis en Espagne mais il est paradoxalement très peu Poursuivi, explique M. Barea. L’exploitation minière illégale est passible de lourdes amendes et même de peines de jail, qui peuvent aller de 6 mois à cinq ans, mais le manque de ressources Pour Poursuivre contribue à l’impunité des voleurs. »
La scenario est d’autant plus dramatique que « L’Espagne s’est officiellement installée dans la sécheresse » titre en première web page le quotidien El País, mercredi 10 août. Selon les derniers chiffres du ministère espagnol de la Transition écologique, le niveau des réserves en eau est tombé à 39,2 %, une première depuis 1995. La canicule et la faible pluviométrie – il y a eu 26 % de pluie en moins de regular depuis octobre – ont aggravé la pénurie, et aucune amélioration n’est en vue. Des limitations Sont déjà en area dans certaines neighborhoods de Galice, de Catalogne, d’Andalousie, d’Estrémadure, de Castille et Leon, de Navarre, et même du Pays basque.
« effets pervers »
La sécheresse en Espagne n’est pas un phénomène nouveau, mais elle s’aggrave chaque année. Dans un relationship publié en 2021, le gouvernement a dressé un bilan assez accablant de la scenario hydrologique du pays. Il a notamment souligné que 22 millions d’Espagnols (un peu moins de la moitié de la populace) vivent actuellement dans des régions où la consommation d’eau dépasse les ressources disponibles, dont 3,3 millions dans des areas de stress and anxiety hydrique sévère, « une scenario que la plupart des citoyens ne connaissent pas ». L’analyse a également souligné le fait que 40 % des eaux de surface area et 45 % des eaux souterraines Sont en partie polluées, et que « Les rivières espagnoles ont moins d’eau aujourd’hui qu’il y a quarante ans ».
Pourquoi, dans ces problems, ne lutter plus activement contre les puits illégaux ? « En Espagne, la gestion de l’eau, dont l’objectif était initialement de créer de grandes facilities hydrauliques, n’est pas adaptée au défi climatique », estime Estanislao Arana, directeur du Forum sur l’économie de l’eau, un centre d’analyse qui dépend de l’université d’Alcalá de Henares, près de Madrid. « De plus, ni le gouvernement main, qui gère les grands bassins fluviaux de la péninsule, ni les régions n’ont vraiment les moyens de s’attaquer au problème. »
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