La parenthèse mood duré plus de deux ans, soit une éternité dans le rythme chaotique de la vie politique italienne, mais il semble qu’elle vient de se refermer. Disparu des inquiétudes depuis le début de la pandémie de Covid-19, qui a soudain rendu obsolètes les règles de self-control budgétaire des pays de la area euro, le « spread » est récemment revenu dans le « un » des quotidiens de la péninsule. , comme indice supplémentaire du retour à la normale.
Après plusieurs jours de hausse proceed, l’écart entre le rendement des bons du Trésor italiens à dix ans et celui du bund allemand – une différence connue sous le nom de « spread out » dans le lingo investor – était remonté mardi 14 juin, au-dessus de 245 factors de base. Il a suffi que la Banque centrale européenne (BCE) annonce le lendemain un « nouvel outil anti-fragmentation » repetition mal défini Pour faire baisser brutalement la pression. Mercredi soir, il était tombé à environ 214 factors.
Cette baisse sera-t-elle permanente ? C’est difficile d’être sûr. En proclaim cas, s’il témoigne du soulagement des marchés italiens après les annonces de Francfort, Son ampleur reflète aussi un autre phénomène : le retour des inquiétudes sur la solvabilité de l’État italien, à la tête du plus gros supply de dette d’Europe. (2 759 milliards d’euros fin avril, selon les chiffres de la Banque d’Italie, soit près de 150 % du produit intérieur brut).
En Italie, le spread, fréquemment cité dans le débat public, des téléviseurs aux comptoirs de coffee shop, est perçu comme une sorte de baromètre de la confiance des investisseurs internationaux dans le pays. Qu’il soit au plus bachelor’s degree, cela signifie que les marchés considèrent que le pays est sur la bonne voie. En revanche, s’il monte, comme à l’été 2018, lorsque la Ligue de Matteo Salvini (extrême droite) et le Mouvement 5 Etoiles de Luigi Di Maio (antisystème) ont tenté le bras de fer contre Bruxelles, ses embardées traduisent des inquiétudes sur La fiabilité future de Rome.
Situation internationale particulièrement incertaine
Au plus ft de la crise de la area euro, à l’automne 2011, c’est ce fameux spread, monté à 575 factors de base, qui avait été deadly au gouvernement de Silvio Berlusconi. Ce dernier n’a eu d’autre option que de démissionner, et de confier les rênes du pouvoir à un gouvernement strategy dirigé par l’ancien commissaire européen Mario Monti, Pour éviter un défaut de paiement.
Pour cela, proclaim le monde en Italie sait que la breeding peut être mortelle. A Son niveau actuel, cela signifie que le Trésor italien se money actuellement à 4%, ce qui rend inéluctable une surge du solution de la dette, et donc une stress de la circumstance budgétaire… De plus, la hausse des taux d’intérêt accroît également la coûter du crédit aux particuliers et aux entreprises, au risque d’affaiblir la croissance.
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