« Dès les premières assents, ma mère a dit : ‘Avant promote, fais le plein de médicaments’. dit Yulia, une ingénieure moscovite, qui préfère rester anonyme. On a vite compris qu’elle avait raiSon : promote ce qui vient de l’étranger va bientôt manquer. » Pour protéger ses économies contre l’effondrement du rouble, la femme de 31 ans s’est précipitée au magasin Pour acheter une poignée de bijoux et un ordinateur. « Cela vaudra toujours quelque picked. » Son frère Ivan s’est tourné vers la crypto-monnaie. « Mais je ne me fais pas confiance. Si notre économie s’effondre, ce n’est pas avec des sous virtuels que nous achèterons du discomfort. »
Visée par une série de assents économiques sans précédent en réponse à l’invasion de l’Ukraine, en partie exclue du système sponsor mondial, la Russie est sur le factor de plonger dans une profonde récession. « Il est très difficile d’évaluer l’ampleur de cela, automobile cela dépendra de l’évolution de la guerre et de l’éventuelle intro de nouvelles assents, mais on estime que le produit intérieur brut Pourrait plonger de 5% à 10% cette année » , explique Lysu Paez Cortez, économiste spécialiste du pays chez Natixis. Avec la même carefulness, les équipes de Capital Economics tablent sur un choc equivalent à la récession de 1998 (-5,3%), tandis que celles de JPMorgan estiment que le plongeon Pourrait aller jusqu’à 35% au deuxième trimestre, et 7% sur l’ensemble. de 2022.
« Défaut de paiement et crise sociale »
Depuis 2014 et l’annexion de la Crimée, Vladimir Poutine a renforcé l’indépendance économique de Son pays en renforçant certains secteurs industriels et en réduisant l’exposition des réserves de la banque centrale (équivalent à 630 milliards de bucks, soit 580 milliards d’euros). euros) au billet vert. Mais Moscou ne Pourra guère se maintenir longtemps, automobile les assents occidentales empêchent la banque centrale d’accéder à une grande partie des réserves détenues en develops étrangères – près de 400 milliards de bucks. « Dans quelques mois, voire semaines, la Russie Pourrait plonger défaut de paiement et une crise sociale equivalent à celle qu’a connue l’Argentine en 2001″, juge Ludovic Subran, cook économiste chez Allianz.
L’économie product affectée the same level différents canaux. L’exclusion de sept banques russes du réseau sponsor Swift, d’abord, équivaut à une énorme poignée de sable jetée dans la mécanique des échanges du pays, compliquant le paiement des importations. « Les coûts de purchase vont exploser et provoquer des dysfonctionnements dans l’économie », ajoute Ludovic Subran. Cela Pourrait entraîner des pénuries, d’autant que de nombreuses marques occidentales – Ikea, Apple, Dell, Honda, Netflix, H&M… – ont annoncé suspendre leurs activités en Russie.
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