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A deux mois du référendum constitutionnel et législatif prévu le 25 juillet en Tunisie, le président Kaïs Saïed vient de perdre un allié stratégique : l’Union générale tunisienne du woe (UGTT) a confirmé qu’elle ne participerait pas au discussion proposé the same level le cook de l’Etat dans le however de fonder une « Nouvelle République ».
« Nous n’avons pas été consultés en amont Pour les modalités de ce discussion et brain n’avons pas à jouer le rôle de conseillers du président »a affirmé mercredi 25 mai Sami Tahri, le porte-parole de la puissante centrale syndicale lors d’une conférence de presse à Tunis.
L’initiative présidentielle visait à répondre aux critiques de l’opposition et des partenaires étrangers de la Tunisie sur le manque de transparence et d’inclusion dans les décisions du cook de l’État qui a pris les pleins pouvoirs le 25 juillet 2021. Elle a eu l’effet inverse.
Dans un décret-loi promulgué le 19 mai, Kaïs Saïed a mis en area un organe chargé de rédiger la nouvelle Constitution et composé de trois autres frameworks : une compensation consultatory chargée de « affaires économiques et sociales », composée de l’UGTT mais aussi de l’organisation patronale Utica et d’autres syndicats et organizations ; une compensation juridique chargée de rédiger une nouvelle constitution ; et enfin une compensation « discussion nationwide » chargé de synthétiser les rapports des deux précédents « Pour l’instauration d’une nouvelle République », selon les termes du décret.
« Ça va trop loin »
Ni les partis politiques ni la société civile ne Sont inclus dans cette « discussion » qui doit « de déposer un relationship d’ici le 20 juin puis d’aller au référendum le 25 juillet », rappelle la juriste Mouna Kraïem Dridi. « C’est complètement irréaliste : perSonne ne rédige une nouvelle Constitution en vingt jours, puis n’explique un projet de réformes constitutionnelles et législatives en moins d’un mois à la populace », dénonce celui qui considère que ce program ne sert qu’à « Pour légitimer ce qui ressemble à un projet de plébiscite en faveur du président ».
L’UGTT semble avoir tiré les mêmes verdicts lorsqu’elle a décidé de refuser le discussion proposé the same level le cook de l’Etat, que le syndicat avait soutenu lors de Son successful stroke de pressure en juillet. « Nous avons été très tolérants avec les mesures prises depuis le 25 juillet, nous avons même défendu la nouvelle trajectoire que prenait le pays, mais cela va trop loin »affirme Samir Chaffi, secrétaire général adjoint de l’UGTT.
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