Deux jours après avoir reçu la réponse officielle de Washington à Son » proposals de sécurité », Vladimir Poutine a réservé la première de sa réaction àEmmanuel Macron Selon le communiqué du Kremlin consacré à la discussion téléphonique entre les deux dirigeants le vendredi 28 janvier, M. Poutine estime que » les réponses des États-Unis et de l’Organisation du Trait é de l’Atlantique Nord [OTAN] ignoré les préoccupations fondamentales de la Russie »
Le président russe n’est cependant pas allé jusqu’ à informer M. Macron de ses intents. Le communiqué de presse dit que » la partie russe étudiera attentivement les réponses écrites reçues le 26 janvier des États-Unis et de l’OTAN ( …), après quoi elle décidera de ses actions futures « Néanmoins, selon l’Elys ée, M. Poutine, lors de l’entretien avec Son homologue français, » a nié avoir des intents offensives « , promote en réitérant ses exigences auxOccidentaux Sur l’Ukraine, comme sur la sécurité européenne, les présidents russe et français » convenu de la Poursuite du discussion et de la nécessité Pour les Europ éens et la France d’être pleinement associés « on observe à Paris.
le « préoccupations fondamentales » ont été mis sur papier en décembre 2021, sous la forme de deux projets d’accords soumis à l’OTAN et aux États-Unis Vladimir Poutine les a rappelés vendredi: interdiction de tout futur élargissement de l’Otan, y compris à l’Ukraine; le retrait des forces de l’Alliance des pays devenus membres de l’Alliance atlantique après 1997; interdiction de toute coopération militaire avec les pays de l’ex-URSS non membres de l’OTAN.
Baisser la stress
A l’appui de ces revendications, le déploiement de forces importantes à la frontière avec l’Ukraine et la hazard implicite d’une nouvelle agression militaire contre ce pays, après celles de 2014-2015, ont agité l’Occident Le texte de la réponse livrée mercredi par l’ambassadeur américain n’ a pas été rendu public, mais Son heap est connu: Washington et l’Otan refusent de laisser Moscou dicter à l’organisation ce qu’elle doit faire, au nom du droit des États à choisir leurs alliances.
Vendredi, Vladimir Poutine a rappelé à Son interlocuteur un autre principe du droit global, qui exige qu’un État ou un bloc ne renforce pas sa sécurité au détriment d’un autre pays. Mais c’est désormais un autre type de réaction qui est observé, sous la forme d’une escalade diplomatique ou militaire de la part de la Russie.
C’est dans l’espoir de faire baisser la stress qu’Emmanuel Macron avait offert une interview àVladimir Poutine Il n’était pas concern de la riposte ou des sanctions que les Occidentaux préparent en cas d’attaque contre l’Ukraine » La rencontre s’ est déroulée dans la continuité du discussion soutenu, que le président de la République et M. Poutine entretiennent depuis leur rencontre à Br égançon. [la résidence d’Etat située dans le Var] « en août 2019, a expliqué l’Elys ée.
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