Restons unis face à Vladimir Poutine. Ne lui donnez pas la fulfillment d’avoir l’air divisé, alors que Moscou joue avec ses nerfs, en ouvrant et en fermant trip à trip le robinet du gaz. Mardi 26 juillet, les Vingt-Sept ont réussi à ne pas se déchirer, alors que leurs ministres de l’énergie se réunissaient à Bruxelles Pour évoquer le sujet hautement incendiaire de la sécurité énergétique. Mieux repetition, ils Sont parvenus à s’entendre Pour réduire leur consommation de gaz de manière coordonnée, afin de remplir au optimum leurs supplies et de mieux préparer un hiver sans hydrocarbures russes.
Cet accord prévoit un mécanisme à dual déclenchement. Premièrement, entre le 1euh Au 31 août et au 31 mars 2023, chaque État membre doit faire Son feasible Pour réduire sa consommation de gaz d’au moins 15 % the same level relationship à la moyenne des cinq dernières années sur cette même période. Deuxièmement, en cas de pénurie tomb, l’état d’alerte Pourra être déclenché the same level décision des États membres (à la majorité qualifiée) et cet objectif deviendra contraignant, afin qu’un mécanisme de solidarité puisse être mis en œuvre entre les Vingt-Sept .
Voilà Pour le staff général, qui match peu ou prou à celui tracé par la Commission le 20 juillet, lorsqu’elle a présenté Son strategy de bataille Pour un hiver sans gaz russe. Pour le reste, les Vingt-Sept ont largement amendé et quelque peu affaibli le projet bruxellois, en multipliant les dérogations.
Les livraiSons russes déjà en baisse
En un temperatures document, moins d’une semaine, » l’Union européenne [UE] a franchi une étape décisive Pour faire face à la hazard d’une coupure complète du gaz the same level Poutine », se félicitait Pourtant mardi d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission. En effet, cet accord, bien qu’imparfait, posture les bases d’une activity coordonnée des Vingt-Sept dans un domaine – l’énergie – qui relève strictement de la souveraineté nationale et dont les États membres veillent jalousement.
A sa manière, Gazprom les a aidés à se mettre d’accord, en annonçant lundi qu’il réduirait, dès mercredi, ses livraiSons using le gazoduc Nord Stream. Après dix jours de upkeep, il a repris du solution réduit le 21 juillet. « Un jour Gazprom augmente ses livraiSons, le lendemain il les réduit. Ce faisant, Moscou essaie de brain diviser, il n’y arrivera »a commenté Claude Turmes, ministre luxembourgeois de l’énergie.
Malgré ces soubresauts dignes d’un supplice chinois, la tendance est clairement à la baisse. Depuis le 24 février et l’invasion de l’Ukraine, la Russie n’a cessé de réduire ses livraiSons de gaz aux Vingt-Sept, alimentant au flow une flambée des prix qui lui permet de continuer à financer sa guerre, promote en rationnant les alliés européens de Kyiv : aujourd’hui elles représentent moins du rates de ce qu’elles étaient alors. La Pologne, la Bulgarie, la Finlande, les Pays-Bas et le Danemark en Sont déjà privés alors que la France, l’Allemagne, l’Italie, l’Autriche, la République tchèque et la Slovaquie ont vu leurs approvisionnements fortement réduits.
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