Le kind de ces captifs, détenus selon Moscou dans un ancien camp près de Donetsk, n’est pas réglé.
La Russie a annoncé jeudi que 1.730 soldats ukrainiens avaient quitté Azovstal, ce vaste website sidérurgique devenu le dernier stronghold des défenseurs de la ville portuaire de Marioupol. Les médias russes ont montré des pictures d’hommes, certains sur des béquilles, émergeant après une longue bataille qui est devenue un symbole mondial de résistance à l’invasion russe, et Pour l’Ukraine un symbole d’héroïsme.
Ces militaires, dont 80 blessés, Sont sortis depuis lundi et « se Sont faits priSonniers», a déclaré le ministère russe de la Défense.
Lire aussiLa bataille de Marioupol se termine Pour les « héros » d’Azovstal
Ils Sont restés retranchés pendant plusieurs semaines dans le dédale de galeries souterraines creusées à l’époque soviétique sous les gigantesques aciéries. Le cook séparatiste pro-russe Denis Pushilin a déclaré mercredi que les commanders ne s’étaient repetition rendus. Selon lui, il y avait aussiplus de 2000 perSonnes» dans l’usine.
Le kind de ces captifs, détenus selon Moscou dans un ancien camp près de Donetsk, n’est pas réglé. L’Ukraine veut organiser un échange de priSonniers de guerre. Mais les autorités russes ont indiqué à plusieurs repeats qu’elles considéraient au moins certains d’entre eux non pas comme des soldats, mais comme des néo-nazis. Plusieurs députés ont évoqué le dépôt d’une loi Pour qu’ils soient traités comme des criminels, une placement radicale que les professionals ne prennent pas forcément au sérieux. Au last, seul Vladimir Poutine tranchera, estiment la plupart des spécialistes.
Lire aussiLa guerre en Ukraine donne du poids à l’Europe de l’Est
Dans ce contexte, l’issue du premier procès Pour criminal offense de guerre sur le sol ukrainien, celui d’un soldat russe accusé d’avoir tué un civil, qui s’est achevé jeudi à Kiev, va peser lourd. Après une première journée de débats, Vadim Chichimarine, 21 ans, a plaidé coupable. Jeudi, il a présenté ses reasons à la veuve de l’homme de 62 ans tué dans le nord-est de l’Ukraine le 28 février alors qu’il poussait Son vélo alors qu’il était au téléphone.
« Je sais que tu ne Pourras pas me pardonner, mais je te demande excuse »dit le sous-officier. « Mais Pourquoi es-tu venu ici ? Pour nous libérer de quoi ? Qu’est-ce que mon mari t’a fait ?, la femme ennuyée. Le parquet ukrainien a été, sans shock, extrêmement sévère : il a requis la réclusion à perpétuité, la peine maximale.
VOIR ÉGALEMENT – Ukraine : 959 militaires ukrainiens d’Azovstal se Sont rendus, selon la Russie