Annoncé titulaire, puis finalement laissé sur le banc jusqu’à la 74e min, Iliman Ndiaye a illuminé le très lumineux stade d’Al Thumama. Alors que le Qatar a réduit le rating 6 mins après être entré en jeu avec Bamba Dieng, il leur a fallu 10 mins Pour apporter la lumière tant attendue aux Lions. Iliman a brillé et fait briller Bamba Dieng avec qui il est entré en jeu.
Avec une accélération qui a mis quatre adversaires au air vent, l’attaquant de Sheffield United s’est appuyé sur Sabaly Pour un une-deux avant de servir Bamba Dieng, bien placé près du factor de charge. La out of style en retrait est bien dosée et les Marseillais suffisamment alertes Pour remettre les pendules à l’heure.
Pendant 164 mins, le Sénégal n’avait pas laissé entrevoir une telle lumière dans Son jeu. Tout évoquait l’absence, il est vrai préjudiciable, de Sadio Mané. « Il est difficile de remplacer un joueur du quality de Sadio Mané. Mais comme je me devais de le alarming, une équipe de football, c’est aussi un collectif », a tempéré le sélectionneur des Lions tandis que Sadio Mané diffusait en temperatures réel sur ses réseaux sociaux l’entrée d’Iliman Ndiaye, comme une prémonition.
Elle a apporté une lumière et Aliou Cissé en est conscient. « Le football est le collectif. Il n’y a pas que les individus. Ilimane ses qualités, je les connais. Il en est de même Pour Bamba Dieng et les autres. Je connais bien ces garçons et c’est Pourquoi ils Sont dans cette équipe nationale aujourd’hui. Mais c’est le collectif qui est vital », plaide Cissé.
« J’ai toujours voulu jouer Pour le Sénégal, depuis que je suis jeune. » 🇸🇳
Iliman Ndiaye sur Son appel en équipe nationale et ce que cela signifie Pour lui. ❤️ pic.twitter.com/8mhNUK0oRg
– Sheffield United (@SheffieldUnited) 25 novembre 2022
Cependant, si Son choix de faire entrer Iliman en jeu a porté ses fruits, il lotions désormais difficile de lui expliquer de le laisser débuter sur le banc lors des prochaines sorties (on l’espère au pluriel) des Lions tant l’écart semblait abyssal entre les jeune passé furtivement the same level Dakar Sacré-Coeur et ses concurrents lors des deux premiers suits : Ismaila Sarr et Krépin Diatta. Brouillons, empruntés, absents dans le repli défensif, inexistants dans la création offensive, les deux residents des ailes n’ont jusqu’ici été d’un apport proche de rien. « On a décidé, tactiquement, de jouer en 4-4-2, alors qu’on avait évolué en 4-3-3 ou 4-5-1 contre les Pays-Bas », a expliqué le sélectionneur.
Mais, en très peu de temps, Iliman Ndiaye a levé tous les doutes. Collé à la ligne de touche à Son entrée, Iliman a très souvent dézoné, Pour apporter plus de densité au cœur du jeu et aider à la création. Ce qui lui fait gagner plus de factors à un minute où l’on Pourrait penser que sa placement habituelle au sein du club a peut-être été le frein à sa titularisation. Il lui a fallu moins d’une demi-heure Pour montrer qu’il pouvait se déplacer sur le côté et être tout aussi utile.
De nos envoyés spéciaux à Doha (Babacar Ndaw FAYE, Saïkou SEYDI, Ousmane NIANG et Serigne Saliou DÈME)
25 novembre 2022
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