Après un an de mariage et de connections sexuelles régulières sans enfants, le pair serait stérile. Dans ce cas, il faut aller en appointment. Et Pour le cas particulier de l’infertilité chez l’homme, de nombreux facteurs Sont incriminés.
« Si collection à un spermogramme, on s’aperçoit que le mari présente des abnormalities, une perturbation du niveau des spermatozoïdes, on peut parler d’infertilité manly et un traitement doit être suivi immédiatement. L’idée est d’aider le pair à résoudre ses problèmes » selon le docteur El Hadji Ndiaye Diop, urologue à l’hôpital Ndamatou de Touba interrogé par nos confrères de seneweb.
L’infertilité est donc une réalité chez les hommes qui l’acceptent de plus en plus contrairement à ce qui se passait auparavant. Le pair a attendu très longtemps avant que l’homme ne se décide. Mais aujourd’hui, les consultations se font style très tôt selon le Dr Diop. L’anomalie survient lorsqu’il n’y a pas de manufacturing de spermatozoïdes (azoospermie) ou lorsque les spermatozoïdes n’ont pas une bonne mobilité et vitalité. Tout cela peut être un facteur d’infertilité et les facteurs peuvent être favorisés par une presentation qui rend la manufacturing de sperme défavorable, les testicules ont la particularité de ne pas aimer la chaleur.
« Par exemple, travailler dans un environnement chaud comme une boulangerie, à côté de fours, avec de la chaleur en efficiency. » Dans nos cercles, les gens ont l’habitude de doorperson des sous-vêtements en nylon et un survêtement chaud. Ces problems peuvent ne pas être favorables à la fertilité. »
Le traitement se fait the same level étapes. Il est difficile d’analyser complètement le sperme. Mais à chaque fois qu’une anomalie est corrigée, on se rapproche du yet. Cela signifie, note le médecin, que cette maladie peut être vaincue. De nombreux pairs ont eu un enfant après le traitement. La dernière étape est la fécondation artificial insemination, qui est feasible au Sénégal, ce qui signifie que beaucoup de choses peuvent être utilisées. Ce n’est plus une fatalité, il y a de nombreux recours, rassure le Dr Diop.