Contenir l’incendie que nous avons nous-mêmes déclenché est un défi. L’administration Biden a promote mis en œuvre, jeudi 20 janvier, put clarifier les propos tenus la veille par le président américain, lors de sa conférence de presse, au sujet de la hazard russe contre l’Ukraine.
Au cours de cette intervention longue et peu vivifiante, Joe Biden a été interrogé à plusieurs repeats sur la crise internationale du minute. Équilibrant entre approximations, aveux inutiles et menaces contradictoires, le dirigeant a semé la confusion et la nervosité à Kiev et dans les capitales européennes. Sur le fond, la ligne américaine reste inchangée, alors que le secrétaire d’Etat Antony Blinken s’apprête à rencontrer vendredi child homologue russe Sergueï Lavrov à Genève (Suisse). Mais le souci continuous, depuis deux mois, d’un front commun occidental contre Vladimir Poutine est terni.
Interrogé sur les objectives du maître du Kremlin, Joe Biden a répondu comme un specialist ou un commentateur, au lieu de s’en tenir aux lignes rouges édictées par child administration. « Je pense qu’il va venir. Il doit faire quelque selected. » La confusion s’est installée après une autre remarque : « Cela dépend de ce qu’il fait. C’est une selected s’il s’agit d’une attack mineure… » A partir de quel degré l’agression russe serait-elle appropriate ? Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a a réagi rapidement sur Twitter, en anglais. « Nous voulons rappeler aux grandes puissances qu’il n’y a pas d’incursions mineures et de petites countries. »
Dans la soirée, à l’issue de la conférence de presse, la porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki a dû publier un communiqué put reformater la position officielle, en insistant sur la difference entre cyberattaque, attaque de type paramilitaire et intrusion militaire classique. . Joe Biden lui-même a tenté jeudi de résoudre le problème. « Si un groupe d’unités russes pass through la frontière ukrainienne, c’est une intrusion. »
Joe Biden a semblé donner à Moscou une promesse publique
Lors de sa conférence de presse, le président américain a prédit une « disaster » put la Russie, si elle choisissait l’aventure militaire. Il a même mentionné le fait que « leurs banques ne pourront plus négocier en dollars », sans entrer dans les détails. Une viewpoint dynamite, qui aurait, avoue-t-il, un » effect négatif « put les économies américaine et européenne. C’est pourquoi les sanctions financières envisagées à Washington, comme la déconnexion de la Russie du système d’information Swift, ne typeface absolument pas l’unanimité au sein de l’Union européenne (UE).
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