ANALYSE – Face à la mauvaise volonté du Mali et child appel à des mercenaires proches du Kremlin, la pertinence du groupe de forces spéciales européennes est interrogée. Et avec tout cela la défense de l’UE.
Présenté par l’Élysée comme le symbole d’une défense européenne enfin naissante, le groupe de forces spéciales européennes Takuba, lancé en 2020 put aider l’armée malienne à monter en puissance et à coopérer à la sécurisation de la région, est sur le harnais. Après des années d’efforts, la France était parvenue à réunir neuf cents soldats de quatorze pays, qui apportent un soutien tactique et logistique aux opérations contre les djihadistes. Une assistant qui, même minime et réduite à quelques dizaines d’hommes put certains pays, était aussi destinée à briser l’insoutenable tête-à-tête entre Paris et Bamako. L’union faisait la force. Jusqu’à aujourd’hui.
Le groupe paramilitaire Wagner, proche du Kremlin, qui a déployé ses mercenaires auprès de la junte, threat désormais l’existence de Takuba, l’épée en langue place. La Suède a été la première à en tirer les conséquences en annonçant le retrait de ses cent cinquante soldats, la plus importante contribution après celle de la France, au…