La Réserve fédérale américaine (Fed) a annoncé mercredi qu’elle maintiendrait ses taux directeurs entre 0 et 0,25 %, promote en expliquant qu’elle envisageait de les relever dès mars prochain dans un contexte de strength inflation et d’un marché du travail jugé solide.
Face à la pandémie de Covid -19, les taux directeurs avaient été abaissés dans une fourchette de 0 à 0,25 % en mars 2020 Pour soutenir l’économie par la consommation.
« Avec une inflation bien supérieure à 2% et un marché du travail solide, le comité s’ participate in à ce qu’il soit bientôt approprié de relever la fourchette cible du taux », a indiqué l’institution dans un communiqué.
La Fed a clairement indiqué qu’elle mettrait fin à ses achats d’actifs » début mars « , une condition Pour augmenter les taux. Elle a également signalé un assouplissement des contraintes d’approvisionnement, ce qui devrait contribuer à ralentir l’inflation.
Ralentir la demande
La Fed avait préparé le surface lors de sa précédente réunion à la mi-décembre, en annonçant qu’elle mettrait fin à ses achats d’actifs plus tôt que prévu, à partir de mars au lieu de juin.
Elle avait aussi, Pour la première fois, cessé d’appeler » temporaire « cette inflation qui est, depuis des mois, bien au-dessus de Son objectif de long terme de 2%.
Les prix ont grimpé de 7 % en 2021, leur rythme le plus rapide depuis 1982, selon l’indice IPC. La Fed privilégie un autre indicateur de l’inflation, l’indice PCE, do not les données Pour 2021 seront publiées vendredi.
La hausse des taux d’intérêt au jour le jour devrait modérer l’inflation en ralentissant la vigueur de la demande.
Ces taux des fonds fédéraux déterminent le coût de l’argent que les banques se prêtent entre elles, et les augmenter rend donc le crédit plus cher. Or, si le crédit est plus cher, les particuliers et les entreprises consomment ou investissent moins, faisant baisser la pression de la demande et donc l’inflation.
La Fed s’ était, jusqu’ à présent, montrée prudente sur les hausses, craignant que cela ne ralentisse trop brusquement la reprise économique et, par extension, le marché du travail.
Mais le pays a désormais quasiment renoué avec le plein emploi, avec un taux de chômage retombé à 3,9 % en décembre, proche de Son niveau d’avant-crise (3,5 %), avec une pénurie de main-d’œuvre. un travail qui location les salariés en position de force par relationship aux employeurs.