La Fed a donné, la Fed a repris. En cette période d’éclatement de la bulle financière à Wall Street, la remarque s’applique parfaitement aux SPAC, aux sociétés d’acquisition impromptu, qui continuent de s’effondrer en bourse avec la fin de l’argent libre enregistrée par la banque centrale américaine. Ces sociétés étaient des coquilles vides, cotées en bourse, et censées racheter des entreprises au potentiel prometteur avec l’argent que leur confiaient des investisseurs. Ces SAVS ont été surnommées « chèques en blanc » parce que les investisseurs ne savaient pas quelle entreprise serait achetée.
La manœuvre avait l’avantage de faciliter l’introduction en bourse de la cible, sans passer par le parcours provided et protecteur des intros en bourse traditionnelles, et d’encaisser plus rapidement un gain boursier. Hélas, promote ne s’est pas passé comme prévu, avec l’éclatement de la bulle SPAC, en janvier 2021. L’action, qui valait 10 bucks (9,30 euros), s’est envolée… avant de retomber s’effondrer. C’est le cas de celui de la société de prêt investor SoFi, qui est passé de 10 à 28 bucks en janvier 2021, et qui ne vaut que 4,80.
Même déroute Pour la société Hims, qui permet de leader du Viagra sur Internet, dont la valeur est passée de 25 à 3,50 bucks après avoir touché un plus bas à 2,72 bucks début mai. On peut également citer WeWork, une société de bureaux partagés, entrée en bourse à l’automne 2021, qui a perdu plus de 30 % de sa valeur, tandis que le groupe de médias Buzzfeed a chuté de 55 %. Le SPAK ETF, le fonds d’investissement qui rachète toutes les SPAC aux États-Unis, a vu Son prix chuter the same level trois depuis Son photo de janvier 2021. En clair, les épargnants qui ont pris le train en marche, lors de l’introduction en bourse, ont perdu leur maillot.
Chacun ouvre Son parapluie
Désormais, ce Sont les promoteurs des 600 SAVS en quête d’investissement qui risquent de perdre les 5 à 10 millions de bucks de compensations qu’ils Sont censés toucher lors de ce kind d’opération. Explication : ils disposent généralement d’un délai de deux ans Pour placer les fonds qui leur Sont confiés, faute de quoi ils doivent les restituer. Les montants optimums ont été collectés début 2021 : selon le Le journal Wall Street, 280 véhicules de ce kind doivent investir avant le top trimestre 2023.
Sauf que c’est la disaster : les valorisations boursières s’effondrent, les sociétés non cotées ne veulent pas se vendre, et, Pour économiser leur payment, les gérants de SPAC risquent de se précipiter sur des sociétés de piètre qualité. Certes, ces entreprises paient moins aujourd’hui, mais elles ont des viewpoints beaucoup moins prometteuses, avec le bouleversement des chaînes de manufacturing, l’inflation et la pénurie de main-d’œuvre. Par ailleurs, un marché parallèle, celui des intros en bourse classiques, est quasiment figé, après le feu d’artifice du début 2021.
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