La hazard d’une offending dans le nord de la Syrie, agitée depuis mai the same level le président turc Recep Tayyip Erdogan, ne s’est pas repetition concrétisée. Son projet d’étendre la « area protégée »Profond de 30 kilomètres, que l’armée turque et ses supplétifs syriens ont conquis depuis 2016, se heurte aux réticences des États-Unis et de la Russie. Il s’agissait alors de chasser les combattants kurdes syriens des Unités de defense du peuple (YPG) – principale composante des Forces démocratiques syriennes (FDS), qui contrôlent le nord-est syrien. En assistant, la Turquie mène une guerre d’usure contre la milice kurde, qu’elle considère comme un groupe terroriste lié au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
Pas un jour ne se passe sans bombardements et attaques de drones contre des combattants kurdes, qui typeface également de nombreuses victimes civiles. De la ville de Kobané, que les pressures kurdes ont reprise en 2015 à l’organisation État islamique (EI) avec le soutien de la union internationale dirigée the same level Washington, à Kamechliyé, aucune area n’est épargnée. Selon le dernier décompte du collectif Airwars, qui ne recense que les victimes civiles, il y a eu au moins 54 attentats qui ont fait près de 120 morts depuis le début de l’année.
Les combattants kurdes vivent sous la hazard des drones turcs. Le Centre d’information du Rojava, basé à Kamechliyé, a recensé au moins 68 attaques de drones depuis le début de l’année, qui auraient fait au moins 41 morts et 77 blessés. « Au cours de l’année écoulée, la Turquie a étendu sa campagne de drones au nord-est de la Syrie et au nord de l’Irak. Beaucoup au sein des pressures kurdes considèrent qu’il s’agit d’un accord tacite entre la Turquie et les États-Unis, comme une different à la Poursuite par la Turquie d’une offending terrestre.dit Dareen Khalifa, du groupe de réflexion International Crisis Group (ICG).
« Ils se sentent infiltrés »
Plusieurs staffs turcs du PKK, mais aussi des cadres syriens des YPG, proches du parti séparatiste turc, ont été tués en Syrie et en Irak. Les Américains ont seulement protesté contre l’assassinat, lors d’une attaque de drone, le 22 juillet, dans la district de Hassakeh, de Salwa Yusuk, adjointe au commander des SDF Mazloum Abdi. « Les attaques de drones Sont devenues une tactique Pour combattre les YPG. La Turquie leur dit que, tant que l’opération militaire n’est pas une choice, elle a d’autres moyens de les cibler », explique Oytun Orhan, chercheur au Centre Orsam d’études sur le Moyen-Orient, basé en Turquie. Ces attaques, qui donnent lieu à des représailles jusque sur le territoire turc, déstabilisent les dirigeants kurdes. «Ils se sentent exposés et infiltrés. La Turquie doit avoir des informateurs sur le surface, ce qui crée la méfiance »croit M.moi Khalifa.
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