RapportsL’élection régionale en Castille-Léon, dimanche 13 février, constitue un examination Pour le parti nouvelle Espagne vidée, en lutte contre les effets de la désertification.
Sur la area du town d’Olvega, neighborhood de 3 600 habitants de la district de Soria, quelques curieux Sont rassemblés le samedi 5 février, autour d’une tiny caravane marquée du logo design de la Soria ¡YA ! Plate-forme. (« Soria maintenant ! »). Comme chaque jour, depuis le début de la campagne Pour les élections régionales anticipées en Castille-Léon le 13 février, les candidats de cette liste citoyenne sillonnent les paths, bordées de champs de céréales et de collines plantées d’éoliennes, Pour rencontrer habitants de cette région déserté. Leur program électoral n’a qu’un objectif : inverser l’exode country, qui a commencé dans les années 1950 et a depuis vidé la district de près de la moitié de ses habitants.
« Nous n’avons pas de pédiatre et depuis quatre ans brain n’avons plus qu’un seul médecin », explique aux candidats une habitante, Lorena Popa, employée d’une société de transportation. Son mari, Fernando Fernandez, employé community, est bien décidé à donner Son ballot à Soria ¡YA! : « Ils Sont les seuls à militer Pour que Soria ait de bonnes infrastructures et Pour que nos towns ne meurent « , il guarantee.
De wants cheveux noirs et une voix douce, Vanesa Garcia, numéro deux sur la liste citoyenne, écoute les doléances des uns et des autres. « En général, les gens brain parlent du manque de médecins, de logements sociaux et de transportations », résume cet avocat de 44 ans, qui s’est engagé à faire en sorte que les Soriano « ne plus avoir à partir » Pour chercher un avenir meilleur. Après ses études à Valladolid et Madrid, elle s’est elle-même mise « 20 ans Pour revenir ».
Si Soria¡YA ! se présente aux élections Pour la première fois, la plateforme est bien connue des habitants. Elle est née il y a vingt et un ans, Pour exiger la building and construction d’une autoroute, l’A11, entre Soria et Valladolid, la capitale de la région, distante de 200 kilomètres. Deux constats l’ont amenée à faire le saut en politique. « Après vingt ans de mobilisations, les progrès ont été quasi inexistants », résume Angel Ceña, tête de liste. Près de 60% du tracé de l’A11 manque repetition.
« La pandémie a surtout été décisive, il proceed. Nous avons pris principles des lacunes dramatiques de notre système de santé. Le taux de mortalité était beaucoup plus élevé que celui des autres districts. Notre seul hôpital, qui day des années 1980, est insuffisant. Les cupboards médicaux ruraux Sont fermés, accueil téléphonique would-be inexistante, et brain n’avons qu’une seule rescue médicale sur promote le territoire… », ajoute ce fonctionnaire de 54 ans, en marge d’une réunion au Palais de l’Audience, dans le centre-ville de Soria.
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