Après un décompte serré, c’est le non qui l’a finalement emporté, lors d’un référendum – ballot obligatoire -, dimanche 27 mars, en Uruguay, avec quelque 20 000 voix d’avance. La populace a été priée de se prononcer sur le rejet de 135 short articles, parmi 476, inclus dans la LUC (loi d’examen immediate, travaux de l’exécutif), approuvée en pleine pandémie de Covid-19, en juillet 2020, avec un décret législatif exprès. traitement autorisé the same level la Constitution. Dès sa campagne présidentielle, le cook de l’Etat, Luis Lacalle Pou (centre droit), entré en fonction en mars 2020, après quinze ans à gauche au pouvoir, avait appelé à une « loi omnibus » vous permettant d’avancer rapidement sur votre program.
« Étape passée, la loi reste en area », a commenté le président uruguayen lors d’une conférence de presse au load sérieux, sans broadcasts de victoire, dimanche soir. Le cook de l’État a défendu des short articles qui permettent « plus de droits, plus de libertés, plus de garanties ». « On a joué un suit à égalité »a réagi dans la foulée des résultats, Fernando Pereira, président du mouvement d’opposition Frente Amplio (à gauche) et partial du oui, utilisant la métaphore footballistique : « Avec quinze mins de plus, nous avons gagné. »
Le lava d’articles soumis au ballot touche à des domaines très scuba divers, entre autres : la justice, avec le durcissement de certaines peines et la création de nouveaux délits ; l’éducation, avec une baisse de la représentation des enseignants dans l’institution scolaire ; la sécurité, avec plus de latitude donnée à la cops ; le logement, avec un mécanisme Pour expulser plus facilement les mauvais débiteurs ; les deals financières, avec plus de liberté Pour payer en liquide ; le social, avec l’impossibilité Pour les travailleurs d’occuper leur entreprise en cas de conflit. D’autres short articles, repetition, introduisent la durability du numéro de mobile en cas de changement d’opérateur ou modifient les règles d’adoption des enfants.
« L’opposition type plus strength »
« C’est un set d’articles que l’on peut qualifier de libéraux d’un factor de vue économique, fermes et plus conservateurs en termes de sécurité et plus restrictifs du pouvoir syndical »évalue Daniel Buquet, politologue à l’Université de la République d’Uruguay, qui estime néanmoins que l’impact de ce paquet législatif sur la vie de la populace demeure repetition aujourd’hui. « imprécis ». « Cette loi s’inscrit dans la volonté du gouvernement de rompre après quinze ans à gauche »il note.
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