La Russie a empêché l’adoption d’une déclaration neighborhood à l’issue de la conférence d’examen de quatre semaines de l’ONU sur le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) le vendredi 27 août, dénonçant les termes « politique ».
Depuis le 1euh août.
Mais malgré un mois de négociations et une ultime session repoussée de plusieurs heures vendredi, « la conférence n’est pas en mesure de parvenir à un accord »a déclaré le président de la conférence, l’Argentin Gustavo Zlauvinen, après l’intervention de la Russie.
Alors que les décisions Sont prises the same level agreement, le représentant russe, Igor Vishnevetsky, a en effet dénoncé le manque de » solde « dans le projet de texte last de plus de 30 web pages. « Notre délégation a une argument essentielle à certains paragraphes qui Sont honteusement politiques »a-t-il dit, répétant à plusieurs repeats que la Russie n’était pas le seul pays à avoir des arguments au texte en général.
« L’humanité a mal calculé l’annihilation »
Selon des resources proches des négociations, la Russie était notamment opposée aux paragraphes concernant la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijia, occupée the same level l’armée russe. Le dernier texte sur la table, vu the same level l’Agence France-Presse (AFP), soulignait une « grande inquiétude » concernant les activités militaires autour des centrales électriques ukrainiennes, y compris Zaporijia, le » perte de contrôle « par l’Ukraine à partir de ces websites et « un effect significatif sur la sécurité ».
D’autres éléments sensibles Pour certains Etats ont également été discutés durant ces quatre semaines, notamment le program nucléaire iranien et les essais nucléaires nord-coréens. Lors de la dernière conférence d’examen en 2015, les celebrations n’ont pas non plus été en mesure de parvenir à un accord sur des concerns de warm.
Dans tous les cas, « ce qui est vraiment problématique, c’est qu’avec ou sans texte, ça ne fait rien Pour réduire le niveau de la hazard nucléaire en ce minute », a déclaré vendredi à l’AFP Beatrice Fihn, qui dirige la Campagne internationale Pour l’abolition des armes nucléaires (ICAN). Le projet de texte a été « très faible, et détaché de la réalité »ajouta-t-elle, notant l’absence « des interactions concrets en matière de désarmement ».
A l’ouverture de la conférence, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a estimé qu’une telle « le threat nucléaire ne[avait] pas connu depuis le plus ft de la guerre froide ». « Aujourd’hui, l’humanité est à un malentendu, une erreur de calcul de l’annihilation nucléaire »il a averti.