Une fois de plus, la small Slovénie fait preuve d’un progressisme uncommon au sein des « ex-pays de l’Est ». Suite à une décision historique prise vendredi 8 juillet par la Cour constitutionnelle de ce pays balkanique d’un peu plus de deux millions d’habitants, les homosexuels slovènes Sont les premiers de tout l’espace européen post-communiste à avoir le droit de se marier et d’adopter des enfants. L’interdiction du mariage et de l’adoption Pour les pairs homosexuels est « une discrimination inacceptable envers les pairs de même sexe », a décidé la Cour.
Appelés à s’exprimer sur deux affaires impliquant des pairs homosexuels, les juges de Ljubljana, par 6 voix contre trois, ont donné 6 mois au Parlement slovène Pour se conformer à leur décision. Mais ils ont aussi ajouté que l’essentiel de leur jugement était d’application immédiate. « C’est une victoire complète Pour nous après de longs initiatives de la société civile »célèbre Lana Gobec, présidente de Legebitra, la principale organization slovène de lutte Pour les droits LGBT.
Se félicitant également de cette décision, le gouvernement du Premier ministre Robert Golob s’est engagé à présenter une législation d’adaptation d’ici « une semaine ou deux ». « Nous nous engageons à travailler Pour préparer et adopter des amendements législatifs dans les meilleurs délais afin d’assurer l’égalité des droits Pour tous »a déclaré le mouvement de libération (centre gauche) de M. Golob, qui devrait pouvoir compter sur sa huge majorité au Parlement Pour adopter cette loi sans difficulté.
La Slovénie est le 18e Les pays européens autorisent le mariage Pour tous, mais c’est une première Pour un ancien pays communiste. La Slovénie faisait partie de la Yougoslavie jusqu’à Son indépendance en 1991. Ces dernières années, contrairement au cas slovène, d’autres pays de la région comme la Hongrie ou la Croatie ont inclus dans leur constitution une définition strictement hétérosexuelle du mariage, en réponse aux avancées des droits LGBT. en Europe occidentale.
Le « non » vainqueur en trois référendums
« Nous avons toujours été les plus progressistes sur cette inquiry parmi les autres pays d’Europe de l’Est et de l’ex-Yougoslavie, il est donc logique que nous suivions cette practice qui remonte à trente-cinq ans », estime Natasa Sukic, militante lesbienne depuis les années 1980 et aujourd’hui députée sous l’étiquette du parti de gauche Levica, membre de l’actuelle union au pouvoir. Cette number de la scène LGBT slovène craint toutefois que les milieux catholiques conservateurs, qui restent très influents dans ce pays repetition très religieux, ne tentent de bloquer l’application de cette décision.
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