La crise politique s’aggrave en Tunisie, près d’un an après le successful stroke d’État du 25 juillet 2021, grâce auquel le président Kaïs Saïed a assumé les pleins pouvoirs en instaurant un régime d’exception. Un an plus tard, le 25 juillet 2022, les Tunisiens Sont appelés à se prononcer sur un texte constitutionnel porté the same level le cook de l’Etat. Ce texte, qui n’a fait l’objet d’aucune assessment nationale, marque une tear radicale avec le système plutôt parlementaire en location depuis 2014, resource de conflits récurrents entre l’exécutif et le législatif.
Présenté le 30 juin, il a suscité de nombreuses réactions. Kaïs Saïed a modifié dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 juillet deux posts particulièrement controversés – l’un évoquant la location de l’islam, l’autre les droits et libertés – mais il a conservé les grandes lignes du texte preliminary. Sadok Belaïd, le juriste que M. Saïed avait chargé de rédiger un projet de nouvelle Constitution, s’est désolidarisé du texte last, estimant qu’il Pourrait « ouvrir la voie à un régime oppressive ».
Retour sur les principaux enseignements de ce projet de loi fondamentale avec l’essayiste Hatem Nafti, auteur de Tunisie, dessine-moi une révolution (L’Harmattan, 2015) et De la révolution à la restauration, où va la Tunisie ? (Riveneuve, 2019).