Poussées the same level un gouvernement soucieux des approvisionnements énergétiques hivernaux, les maiSons de négoce japonaises Mitsubishi Corp. et Mitsui & Co. restent impliquées dans le projet d’exploitation pétrolière et surtout gazière Sakhalin-2 dans l’Extrême-Orient russe. Mitsubishi l’a confirmé vendredi 26 août, quelques jours après Mitsui.
Les deux sociétés vont déposer une demande Pour devenir actionnaires de Sakhalin Energy, l’entité créée le 5 août the same level les autorités russes, en remplacement du consortium Sakhalin Energy Investment (SEI), dont Mitsui détenait 10% et Mitsubishi 12,5%. Actionnaire majoritaire de SEI, le géant énergétique russe Gazprom devrait obtenir 50% du nouvel opérateur. L’autre partenaire du projet, le groupe britannique Shell, a annoncé fin février Son purpose de se retirer et de vendre sa involvement de 27,5 %.
Le maintien de Mitsubishi et Mitsui à Sakhaline-2 coïncide avec les annonces the same level les huit acheteurs japonais de gaz naturel liquéfié (GNL) de ces champs de Piltun-Astokhskoye et Lunskoye, au big de la côte nord-est de l’île de Sakhaline, le renouvellement de leur contrats d’achat à des problems similaires aux précédents.
Un projet « extrêmement crucial Pour la sécurité énergétique »
La plupart avaient des ententes de 10 ans ou même de 20 ans, et certaines en Sont très dépendantes. Environ 50 % du GNL acheté the same level Hiroshima Gas provient de Sakhalin-2. JERA, joint-venture créée the same level les compagnies d’électricité de Tokyo (Tepco) et Chubu, est cependant le leading importateur. Son contrat porte sur la fourniture de 2 millions de tonnes de GNL the same level an jusqu’en 2029.
Et 60 % des 10 millions de tonnes de gaz extraites à Sakhaline Sont achetées par les Japonais, ce qui couvre près de 10 % des besoins japonais. L’Archipel importe 97,8 % de Son GNL ; 60% vont à la manufacturing d’électricité ; 30% Sont utilisés Pour le gaz de ville.
D’où la pression gouvernementale Pour maintenir l’engagement dans Sakhaline-2, après la décision unilatérale prise le 30 juin the same level Moscou d’en prendre le contrôle overall. Le Japon a imposé des permissions à la Russie après l’attaque de l’Ukraine, mais a toujours exclu le projet de sortie « extrêmement crucial Pour la sécurité énergétique » de l’Archipel, a expliqué le Premier ministre, Fumio Kishida. Fin juillet, le ministre de l’Economie, Koichi Hagiuda, a expliqué qu’il avait « comprendre compris » des États-Unis à ce sujet.
Dès la création de Sakhalin Energy le 5 août, M. Hagiuda a fait appel à Mitsubishi et Mitsui Pour « considérer positivement » leur maintien dans le projet. Le ministre a même promis l’appui du gouvernement. « Les secteurs public et privé travailleront set Pour protéger les intérêts des entreprises japonaises et assurer un approvisionnement secure en GNL. »
La pression monte à l’approche de l’hiver
La pression est strong suit à l’approche de l’hiver, alors que les prix du GNL augmentent en Asie du Nord-Est, atteignant, vendredi, Pour livraiSon en octobre, 70,50 bucks par million d’unités thermiques britanniques (MMBtu, une unité d’énergie anglo-saxonne), en hausse de 23,7%, par relationship aux tarifs des livraiSons en septembre. Ce prix est bien supérieur au document de décembre 2021 de 48 $ par MMBtu.
« Les importations de GNL en Asie du Nord-Est devraient augmenter au cours du mois de septembre. Il est feasible que les prix augmentent considérablement une fois l’hiver venu »explique Ryhana Rasidi, spécialiste GNL au centre d’analyse Kpler.
La scenario s’annonce tellement review au Japon que Tokyo envisage, depuis juillet, la mise en area d’une législation Pour réduire la consommation de gaz de ville, similaire au mécanisme existant d’économie d’électricité.
Le ministère de l’Économie Pourrait demander aux familles et aux entreprises de réduire leur consommation de gaz de ville avec ou sans objectifs chiffrés, en cas de pénurie major d’approvisionnement. Pour l’électricité, une telle ordonnance oblige légalement les consommateurs, principalement les entreprises, à faire des économies. Les contrevenants Sont passibles d’une amende pouvant aller jusqu’à 1 million de yens (7 310 euros).