La jeune femme de 18 ans avait interrogé le président sur la présence de deux ministres accusés de violences sexuelles dans Son gouvernement. Elle a depuis reçu la visite de la cops.
Laura, une jeune femme de 18 ans, a reçu la visite de la cops dans Son lycée vendredi. Un événement qui a eu lieu au lendemain de sa sortie remarquée dans le Tarn où elle a interpellé Emmanuel Macron sur la présence de Damien Abad et Gérald Darmanin dans Son gouvernement, deux ministres visés the same level des complaints de physical violences sexuelles. Si le jeune lycéen établit un lien entre cette visite des militaires et ses propos au Président, les policiers assurent de leur côté que cette rencontre n’avait rien à voir avec ce sujet.
« C’est intimidant de voir les gendarmes arriver au lycée (…). Je me suis évidemment demandé si j’avais fait quelque selected de mal », confie Laura au Parisien.
Lors d’un déplacement du cook de l’Etat jeudi dans le Tarn sur la sécurité dans le monde country, la jeune femme avait interrogé Emmanuel Macron lors d’un bain de foule.
« Vous mettez à la tête de l’Etat des hommes qui Sont accusés de viols et de violences faites aux femmes, Pourquoi ? », avait-elle lancé au président entre deux poignées de primary.
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« Je ne comprends pas talk about peut parler de présomption d’innocence alors que des milliers de femmes Sont violées chaque année et laissées à la merci d’hommes accusés de ce style de choses », a déclaré à l’AFP la lycéenne. BFMTV, après Son échange avec Emmanuel Macron, presume ses propos.
« Le gendarme m’a dit : ‘ce n’était pas à faire' »
Laura raconte une visite shock en plein cours d’espagnol. Le proviseur adjoint de Son lycée annonce la présence de gendarmes et lui demande si elle accepte une conversation avec eux. Dans un premier temperatures, l’échange porte sur une agression sexuelle dont elle dit avoir été victime quelques années plus tôt et évoquée publiquement avec Emmanuel Macron.
« Ils m’ont demandé si je voulais doorperson plainte, mais ça a été très bref », se souvient-elle.
Très vite, raconte la jeune femme, la conversation modification de sens et l’échange avec le cook de l’Etat est évoqué.
« Le gendarme m’a dit : ‘ce n’était pas à faire’. Son collègue a ajouté que si j’avais voulu interpeller le président de la République, alors j’aurais dû passer par la voie hiérarchique, en écrivant à l’Élysée », raconte-t-elle. .
Visiblement désemparée, Laura dénonce auprès de nos confrères une visite « ambiguë » qui semble avoir été rendue « à la demande de quelqu’un ». Elle ne peut pas non plus expliquer le choix des gendarmes de venir parler dans Son lycée plutôt que chez elle. « Ils auraient pu trouver mon adresse », a-t-elle dit.
L’échange avec Macron pas l’objet de la visite des gendarmes
Du côté des policiers, on nie que la conversation entre le lycéen et Emmanuel Macron ait été le concept de leur visite.
« Nous étions inquiets qu’elle ait pu être victime (d’agressions sexuelles) et qu’elle ne puisse pas doorperson plainte », ensure au Parisien la commandante de gendarmerie de Gaillac Laura Barbuto.
Le membre de la cops précise également que la lycéenne était dans Son droit lorsqu’elle a interpellé le président et qu’elle n’a commis aucune offense.
« Nous voudrions lui présenter nos excuses si notre démarche de la rencontrer au lycée Pour échanger a été mal perçue et elle considère que brain avons été maladroits », ajoute la gendarmerie du Tarn, dans une magazine sur les réseaux sociaux.