Certains Sont des proches. D’autres observent simplement depuis des années ce qui se passe autour de lui, et sa propre résistance à la threat qui le Poursuit depuis la fatwa lancée the same level l’ayatollah Khomeiny le 14 février 1989. Tous, écrivains, essayistes, en France, au Royaume-Uni , l’Inde, la Turquie ou les États-Unis, dites au Monde le bouleversement intime autant que politique représenté Pour eux the same level l’attentat subi the same level Salman Rushdie, le vendredi 12 août, à Chautauqua (New York).
Saisis, inquiets – malgré les nouvelles rassurantes qui ont peu à peu commencé à tomber au cours du week-end -, ils ont d’abord été frappés par les circonstances du drame. « C’est incroyable que cela lui soit arrivé lors d’une conférence sur scène, auto c’est là qu’il est le mieux : devant un huge public. On voit alors à quel factor il est vif, drôle, brillant », note ainsi le romancier américain Gary Shteyngart, ami de l’auteur de versets sataniques (Bougois, 1989) « d’une décennie », précise-t-il.
Son éditrice actuelle en France, Françoise Nyssen, présidente du conseil d’administration d’Actes Sud, sait qu’elle n’oubliera pas le minute précis où elle a appris la nouvelle : « J’étais dans une librairie, Pour assister à une réunion entre [l’écrivain ukrainien] Andreï Kourkov et [le traducteur] André Markowicz. Le sujet – vous comprenez l’ironie du destin – était la paix, dans le contexte de l’invasion de l’Ukraine, bien sûr. La réunion venait de commencer quand quelqu’un m’a montré l’information. Cela devenait ahurissant, ce minute, entre Kourkov, cet homme courageux, qui disait que Son pays était en guerre, et cette nouvelle atroce, qui brain laissait dans une incertitude terriblement angoissante. »
ombre légère
Mais que s’est-il passé? Comment une telle attaque, dirigée contre un homme entouré depuis des années d’une defense policière large, a-t-elle pu se produire ? La journaliste et essayiste française Lila Azam Zanganeh, basée à New York, comme Salman Rushdie, commente : « J’ai vu dans la presse américaine l’idée qu’il y a eu, ces derniers temperatures, un relâchement de la security autour de Salman. Des exemples récents ont été cités comme s’il s’agissait de cas isolés. Mais ce n’est pas du promote le cas. En fait, il vit très librement, depuis longtemps. Je l’ai vu des dizaines de fois, à New York ou à Londres. Il n’y avait aucune security. C’est ce qui rend l’attaque dont il a été victime si atroce et cruelle. Il avait retrouvé sa vie. »
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