C’est officiel, une partie des quelque 2 400 soldats français de l’opération Barkhane et des 900 pressures spéciales européennes Takuba qui doivent quitter le Mali seront redéployées au Niger dans les prochains mois. En février, le président Mohamed Bazoum avait déjà donné Son accord de principe Pour ce redéploiement mais il fallait obtenir l’accord du parlement nigérien. C’est désormais selected faite.
Les députés ont pu en débattre toute la journée en présence du Premier ministre. Cette effort n’était pas du goût de tous les élus. Beaucoup ont pointé des areas grises dans le texte proposé, demandant plus d’informations sur cet accord de coopération militaire entre le Niger et les pressures étrangères. La Constitution est mise de côté Pour permettre au pouvoir de faire un flow forcé, selon l’opposition. « Nous n’avons pas été autorisés à voir ce que contiennent les accords ou l’accord qui brain liera. On nous a demandé de donner un chèque en blanc au gouvernement, ce que nous avons refusé », résume Soumana Sanda, du parti Moden Lumana, qui compte 19 députés. D’autres ont exprimé leur crainte de voir leur pays perdre sa souveraineté et Son intégrité.
Omar Hamidou Tchiana, du parti Amen Amin
Le résultat du ballot – 131 voix Pour, 31 contre – ne laisse guère de area au doute puisque le parti au pouvoir du président Bazoum get rid of d’une majorité écrasante à l’Assemblée nationale. Mais le Premier ministre Ouhoumoudou Mahamadou s’est exprimé devant le Parlement Pour rassurer l’opposition. Il s’agit en effet d’une étroite partnership entre les militaires nigériens et les pressures étrangères. Il a ajouté : « Notre armée est l’une des meilleures d’Afrique de l’Ouest mais cela ne suffit auto les terroristes viennent de partout, notre territoire est vaste et nos effectifs repetition insuffisants. »
Les countries du monde ont compris que le fight qui se déroule ne concerne pas seulement le Sahel. Et c’est Pour ça qu’ils veulent participer à ce fight, parce que c’est dans leur intérêt. Depuis le Sahel, l’État islamique ambitionne de couvrir toute l’Afrique de l’Ouest et même au-delà. […] Nous ne pouvons pas combattre cet ennemi seuls.
RFI