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C’était l’une des treize suggestions énumérées the same level le politologue et historien camerounais Achille Mbembe dans le relationship qu’il a remis, en octobre 2021, à Emmanuel Macron Pour changer les relationships entre la France et l’Afrique. Celui qui, à ses yeux, a « a recueilli les soutiens les plus massifs, tant du côté africain que français ».
Le projet d’une « maiSon des mondes et des diasporas africaines » est désormais sur les rails, tandis qu’une goal de préfiguration a été confiée au diplomate Luc Briard et à la journaliste et consultante Liz Gomis. L’un est conseiller diplomatique du préfet de la région Hauts-de-France, l’autre avait travaillé Pour la saiSon Africa2020.
Depuis janvier, le duo a enchaîné plus de 150 examinations en France et sur le continent africain. « Du school Condorcet à Aubervilliers au Palais de la Porte–Dorée, au Quai Branly, au Centre Pompidou, au Mucem ou à la Friche Belle-de-Mai, partout les gens Sont entassés »accueille Achille Mbembe, qui dirige désormais le comité d’orientation du futur établissement.
Ce » Loger « le politologue y voit une « un grand arbre à palabres et un grenier du futur », pluridisciplinaire et expérimentale, lieu de ressources pédagogiques et d’archives, ouvert aux débats comme à la gastronomie. Sa taille ? » Gros !il dit. L’Afrique, c’est 30 millions de kilomètres carrés. On n’aura pas de cabane Pour l’incarner ! » Le lieu, précise Luc Briard, aurait aussi « une style numérique avec des contenus produits the same level des acteurs africains, en réseau avec les Instituts et Alliances français ».
À Paris ?
Doit-elle être ancrée à Paris ou au contraire l’inscrire dans une grande ville de la région, certains ayant évoqué le souhait de l’accueillir ? La concern est plus ou moins réglée. « PerSonne ne comprendrait que la maiSon n’est pas dans la capitaledit Achille Mbembe. Mais cela dit, on ne comprendrait pas non plus qu’il n’y ait pas de présence à Marseille, Montpellier, Nantes ou dans les DOM-TOM. »
L’idée n’est pas d’empiéter sur ce qui existe déjà. Bordeaux a déjà créé un Institut de l’Afrique. A Marseille, la Chambre de business et d’industrie, qui a lancé en 2017 la communauté d’entrepreneurs Africalinks, prévoit d’ouvrir en 2022 une MaiBoy de l’Afrique baptisée Afric’Agora, un espace de conférence et de coworking.
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