Tribune Le 18 juin 2021, le conservateur Ebrahim Ra ïsi est élu président de la République islamique d’Iran Avec 48,8% de involvement selon les chiffres officiels, ces élections présidentielles Sont marquées par le plus faible taux de involvement à une élection présidentielle de l’histoire de la République islamique d’Iran
La corruption systématique à tous les niveaux, la répression violente des symptoms, une crise économique et sociale majeure et l’incapacité des réformateurs à réformer Sont les principales triggers de cette profonde crise de confiance qui existe aujourd’ hui entre le peuple iranien et ses dirigeants. Strat égies.
D’un point de vue diplomatique et géopolitique, la nouvelle administration iranienne se concentre sur une stratégie que ses penseurs ont nommée » regarder vers l’Est « . Pour Son leading trip à l’étranger, le nouveau président iranien se rend au Tadjikistan en septembre 2021 Pour participer au sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai.
Pour l’immunité contre les sanctions américaines
L’Iran est devenu, quelques semaines seulement après l’entrée en fonction d’Ebrahim Raisi, officiellement membre de cette organisation dirigée par Pékin etMoscou Avec cette circumstances fondée plus sur un rejet de l’Occident que sur une réelle confiance en l’Orient, la République islamique s’ éloigne sensiblement de l’un de ses principes les plus chers, gravé à l’entrée du ministère des Affaires étrangères à Téhéran: » Ni l’Est ni l’Ouest, la République islamique d’Iran « .
En pariant sur un déclin des puissances occidentales au cours du siècle que nous vivons, les conservateurs iraniens souhaitent établir un partenariat stratégique avec la Chine sur les concerns politiques, stratégiques et économiques. Le ministre iranien des Affaires étrangères a annoncé le 14 janvier lors d’une visite officielle à Pékin le lancement de la mise en œuvre de l’accord de coopération stratégique et commerciale de vingt-cinq ans avec la Chine.
Un accord critiqué par une grande partie des élites et de la population iranienne en raiSon de Son caractère opaque. Un partenariat stratégique avec la Chine aiderait donc Téhéran à » neutraliser » les sanctions de Washington, comme le souhaite l’ayatollahKhamenei Les conservateurs iraniens estiment qu’un partenariat économique avec la Chine et des étroits plus liens avec les pays voisins de la région, sans parler d’une éventuelle coopération militaire avec la Russie, conduiront à l’immunité contre les sanctions américaines.
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