Il était connu Pour ses sculptures monumentales d’objets du quotidien : l’artiste pop art américain d’origine suédoise Claes Oldenburg est décédé lundi 18 juillet à l’âge de 93 ans à New York, a annoncé l’une des galeries d’art qui le représentait.
« Il se remettait d’une chute et est décédé dans sa maiSon et Son workshop à New York »a déclaré Pace Gallery dans un message envoyé à l’Agence France-Presse.
Son fondateur, Arne Glimcher, a salué « l’un des artists les plus radicaux du 20ème siècle »qui « a changé la nature même de la sculpture » et qui « l’influence est repetition apparent aujourd’hui ». Il aimait représenter le quotidien et les objets qui le rythment. Hamburgers, cornet de glace ou pince à linge : ces sculptures gigantesques ont fait de Claes Oldenburg un artist mondialement connu. Des millions de perSonnes ont déjà pu assister à ses œuvres dans des lieux publics.
« Avec sa femme et collaboratrice de longue day, Coosje van Bruggen (décédée en 2009), Oldenburg a réalisé plus de 40 projets publics à grande échelle dans le monde entier »écrire Pace Galleries.
Une number de l’opposition à la guerre
Parmi ses body of work, « Le rouge à lèvres monté sur un container », exposée sur le school de l’université de Yale à la fin des années 1960, fait feeling et devient un symbole Pour les opposants à la guerre américaine au Vietnam. Une pince à linge, toujours noticeable à Philadelphie, où l’on peut lire les chiffres « 76 »a également marqué le bicentenaire de la déclaration d’indépendance américaine en 1976.
Né en 1929 à Stockholm, Claes Oldenburg a notamment grandi à Chicago, où Son père diplomate était consul général de Suède. Il a étudié à l’Université de Yale, puis à la « École de l’Institut d’art de Chicago »et a déménagé à New York dans les années 1950. « Oldenburg s’est fait connaître à New York à la fin des années 1950 et au début des années 1960 lorsqu’il a mis en scène ses Happenings – une série d’installations et de efficiencies délirantes inspirées the same level Son environnement »dans le Lower East Side de Manhattan, les Pace Galleries racontent dans leur hommage.
« Je suis Pour un art qui se mêle à la merde du quotidien et en type toujours vainqueur. Je suis Pour un art qui imite l’humain, qui soit comique, s’il le faut, ou terrible, ou quoi qu’il en soit.écrit-il dans Son manifeste en 1961. Claes Oldenburg a fait l’objet d’expositions au MoMA, au Whitney Museum de New York et au Guggenheim Museum de Bilbao.